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11/19/2011. The Higgs Boson Found or Disproved by 2012! The Higgs boson might be either found or disproved by 2012 as physicists at the Large Hadron Collider (LHC) in Geneva, Switzerland, deem that the long-sought particle is finally within reach. Two experiments lately observed tantalizing hints of the elusive particle. If it exists, the Higgs boson likely has a mass of around 125 gigaelectron volts (GeV), or, in any case, between 116 to 130 GeV. They also have started to see an intriguing excess of decay particles in the mass range around 125 GeV, which might be due to a random fluctuation or the boson. As the Higgs boson are thought to be extremely short-lived, scientists can detect it only by spotting the particles into which the Higgs decays, and the Higgs can decay into different combinations of other particles. The CERN researchers say they have what a 'two-sigma' degree of confidence, or 95 percent chance that the results are not due to a statistical fluke. Very stringent standards of particle physics, however, need that an experiment must have a sigma level of five—or a 99.99 percent chance—to count as an official discovery. Now, physicists at the LHC need more data through more collisions, which is to be reached by late next year or even as soon as the summer (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Boson de Higgs ou pas boson de Higgs: une réponse définitive en 2012. 19/11/2011 L'existence du boson de Higgs sera définitivement établie ou réfutée en 2012. Les physiciens du LHC de Genève estiment que la particule est maintenant à portée. Deux expériences récentes ont observé des signes tentants de la particule. S'il existe, le boson de Higgs devrait avoir une masse d'aux alentours de 125 GeV et, dans tous les cas, comprise entre 116 et 130 GeV. Les scientifiques du LHC ont également commencé d'observer un excès intriguant de particules de transmutation radio-active dans la zone des 125 GeV de masse, ce qui pourrait être dû soit à une fluctuation aléatoire soit au boson. Comme on pense que le boson de Higgs a une durée de vie extrêmement courte, les physiciens ne peuvent le détecter qu'en repérant des particules au sein desquels la transmutation du boson a lieu. Le boson de Higgs, de plus, peut transmuer en différentes combinaisons de particules. Les chercheurs du CERN font état de ce qu'il ont atteint un degré de certitude dit de "deux sigma", soit 95% de chances que les résultats ne sont pas affectés par un défaut statistique. Les critères de la communauté de la physique de particules, cependant, demandent pour qu'une découverte soit considérée comme officielle, qu'elle atteigne un degré sigma de cinq, soit 99,99%. Le LHC a donc maintenant besoin de plus de données, obtenues par plus de collisions, ce qui sera atteint à la fin de l'an prochain voire dès l'été)

11/19/2011. A Follow-Up to Weather Neutrinos Really Travel Faster Than Light! By late September, physicists of the OPERA (Oscillation Project with Emulsion-tracking Apparatus), in the Gran Sasso National Laboratory, Italy, claimed that neutrinos seemed to travel daster than light, a result incompatible with Einstein's Relativity! Physicists elsewhere generally expressed doubts about that result. One main concern was that, at 10.5 microseconds (millionths of a second), the proton pulses that the European CERN used to generate the neutrino pulses were relatively long, meaning that OPERA could not know whether individual neutrinos received at Gran Sasso corresponded to protons early or late in the proton pulse, creating uncertainty around their travel time. In October, OPERA therefore asked CERN to generate shorter proton pulses, lasting just 3 nanoseconds (billionths of a second). A similar level of statistical overspeed -with the same overspeed of 60 nanoseconds- has been found however and such a result rule out uncertainties due to duration of the proton pulse. A other concern now have been raised because that the experiment is using the Global Positioning System (GPS) to synchronize clocks at each end of the neutrino beam as GPS was previously untried in that field of high-energy and particle physics. A key test now is a replication of the results by a independent experiment. That should be performed by MINOS (Main Injector Neutrino Oscillation Search) at Fermilab in Batavia, Illinois. Scientists there are upgrading their timing system to match OPERA's precision as, in its current state, MINOS might also be able to complete a preliminary check as soon as early 2012 (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Les neutrinos plus rapides que la vitesse de la lumière: suite. 19/11/2011 Fin septembre, des physiciens du projet OPERA (Oscillation Project with Emulsion-tracking Apparatus), au Gran Sasso National Laboratory en Italie, ont rendu public que des neutrinos semblaient se déplacer plus vite que la vitesse de la lumière, un résultat incompatible avec la Relativité d'Einstein. Les physiciens extérieurs à l'expérience avaient émis des doutes. Un de leur principal souci était que le faisceau de protons utilisé au CERN, le point de départ, pour générer les protons fonctionnait à 10,5 micro-secondes (1 micro-seconde égale un millionième de seconde), soit un temps relativement long; à OPERA, on ne pouvait pas savoir si les neutrinos qui arrivaient étaient des neutrinos émis au début ou à la fin du faisceau et cela créait donc une incertitude sur les résultats. Aussi, en octobre, les scientifiques d'OPERA ont-ils demandé au CERN de raccourcir le temps du faisceau, le ramenant à 3 nano-secondes seulement (1 nano-seconde égale un milliardième de seconde). Les résultats sont restés identiques: les neutrinos se déplacent toujours plus vite que la lumière et l'excès de vitesse est toujours le même: 60 nano-secondes. Les incertitudes liées à ce point sont donc exclues. Un autre point a été soulevé désormais: l'expérience d'OPERA utilise le système GPS pour synchroniser ses horloges aux deux bouts du parcours; mais le GPS n'a jamais été utilisé dans le champ de la physique des hautes énergies et des particules. Un test-clé va donc consister maintenant à reproduire les résultats par une expérience indépendante. Cela devrait être fait par le projet MINOS (Main Injector Neutrino Oscillation Search) du Fermilab américain, à Batavia dans l'Illinois. Les physiciens y sont en train de mettre à jour leur système de mesure du temps pour arriver au niveau de précision de l'expérience OPERA mais, dans son état actuel, MINOS pourrait accomplir une vérification préliminaire dès)

11/19/2011 Pristine Hydrogen and Helium Really Existed in The Earlier Universe! By November 2011, astronomers have discovered for the first time two clouds of gas, pristine from the earlier Universe! They found the less metallicity gas in the Universe at one-ten-thousandth as metallic as that of the Sun, which likely is the state of hydrogen and helium in the Universe before first stars formed and turned supernovae, spreading heavy elements. Thus the primordial gas as predicted by the Big Bang theory is extant indeed. That gas was found in distant quasars. Until then astronomers thought that nothing could be less than one-thousandth the solar metallicty as the heavy elements produced along eons had widely dispersed. At the other extreme, stars and gas with the highest enrichment are almost ten times as the Sun. The discovery likely hints too to how metals got spreaded into the earlier Universe (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Il y a bien eu de l'hydrogène et de l'hélium pur aux débuts de l'Univers 19/11/2011 En novembre 2011, des astronomes ont découvert pour la première fois deux nuages de gaz qui sont en l'état dans lequel ils étaient aux débuts de l'Univers. La métallicité de ce gas est la moindre jamais observée: un dix-millième la métallicité du Soleil, ce qui représente vraisemblablement l'état de l'hydrogène et de l'hélium dans l'Univers avant que les premières étoiles ne se forment puis explosent en supernovas en répandant des éléments lourds. Aussi, le gaz primordial que prévoit la théorie du Big Bang existe bien. Ces nuages ont été observés dans des quasars lointains. Jusque là on pensait que rien ne pouvait contenir moins de métaux que le Soleil (soit un millième) car les élements lourds, produits au long de l'histoire de l'Univers, avaient eu le temps de se disperser. L'autre extrême consiste en des étoiles et du gaz à la plus forte métallicité: presque 10 fois celle du Soleil. Cette découverte pointe vraisemblablement aussi à comment les métaux ont été dispersés aux débuts de l'Univers)

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Comparison view between both launchers of the Constellation and SLS programs / vue comparée des deux lanceurs de l'ancien programme Constellation et du programme SLSComparison view between both launchers of the Constellation and SLS programs / vue comparée des deux lanceurs de l'ancien programme Constellation et du programme SLS. site 'Amateur Astronomy'

9/10/2011 A Definitive Shape of The Future of US Space? With a series of annoucements, NASA is about to hold a definitive shape for the US space future! The US agency first unveiled its definitive choices for the 'Space Launch System,' or SLS, which consists into two new launchers to carry the Orion Multi-Purpose Crew Vehicle -the reworked crew capsule of the former Constellation program- as well as important cargo, equipment and science experiments to Earth's orbit and destinations beyond. Additionally, the SLS will serve as a back up for commercial and international partner transportation services to the International Space Station in complement to the industry. A asteroid by about 2025 or Mars after that will be allowed. The SLS rockets will incorporate technological investments from both the Space Shuttle Program and the previous US space Constellation Program, use a liquid hydrogen and liquid oxygen propulsion system for both the launchers' stages. The SLS will have an initial lift capacity of 70 metric tons, evolvable to 130 metric tons. The first flight of the new system is targeted for the end of 2017 only. A evolvable approach allows too to different launch combinations to a desired mission. As far the access to low Earth orbit and specially the ISS is concerned, the path had already been taken that four US companies -Blue Origin, Sierra Nevada Corporation, Space Exploration Technologies (SpaceX), and The Boeing Company- are to complete end-to-end spacecraft, launch vehicles, launch services, ground and mission operations and recovery. NASA at last seems to engage itself into more international collaboration in terms of exploration of the solar system, with the elaboration of a Global Exploration Roadmap (GER) in collaboration with 12 space agencies worldwide, mostly from Europe, Japan or Russia as India is also involved. Mars is the main target for that program past 2035 as varied missions developped by the partner agencies, NASA included, should reach a journey to the Red Planet either through the step of reaching a asteroid first, or the one of being back at Moon. A futuristic prospective view for the coming decades, at last, by NASA has also being released and eyeing a global space vehicles policy with ones aiming at providing for the ferries to and from the International Space Station (ISS), and the others used to fly in and out of the atmosphere without going into orbit for carrying passengers and cargo between destinations on Earth in 2 hours or less. Reusability, reliability, a thousand flights per year, operating out of three or more hubs worldwide, and the market would also be relying upon orbital space tourism, even limited demand for space-based solar power generation are that new initiative mottos! As far of what is currently done in space by the USA, they are depending upon the Russian Soyuz to ferry to the ISS as NASA's private partners are to test-flight their launchers and capsules or that the daily Earth' orbit activity of space exploration keeps of the function of NASA (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Une version définitive du futur de l'espace américain? 10/09/2011 Avec une série d'annonces, la NASA semble tenir une version définitive du futur de l'espace américain. L'agence a d'abord dévoilé ses choix définitifs pour ce qui est du "Space Launch System" ou SLS ("système de lancement spatial"), qui consiste en deux fusées de lancement nouvelles, lesquelles emporteront, l'une le "Orion Multi-Purpose Crew Vehicle" -une refonte de la capsule équipage de l'ancien programme Constellation- l'autre des cargaisons, équipements et expériences scientifiques, le tout à destination de l'orbite terrestre et au-delà. De plus, le SLS servira de système de rechange à destination de la Station Spatiale Internationale pour les systèmes construits par les compagnies privées. Le SLS permettra d'atteindre un astéroïde vers 2025 puis Mars ensuite. Le système SLS va intégrer des éléments venant à la fois du programme de la navette spatiale et du précédent program Constellation pour l'espace américain; les lanceurs utiliseront, pour tous leurs étages, de l'hydrogène et de l'oxygène liquides. Le SLS aura une capacité initiale d'emport de 70 tonnes, qui pourront passer à 130. Le premier vol n'est prévu que pour fin 2017. Une approche évolutive permettra des combinaisons différentes, adaptables à telle ou telle mission. Pour ce qui est de l'accès à l'orbite et des transports vers l'ISS, le chemin était déjà fixé: 4 compagnies privées -- devront mettre en oeuvre des systèmes entiers, du lanceur à la capsule en passant par toutes les étapes d'un vol (lancement, contrôle, récupération, etc.). La NASA, enfin, semble s'engager dans plus de collaboration internationale pour ce qui est de l'exploration du système solaire: elle a élaboré, avec 12 autres agences spatiales (principalement l'Europe, la Russie et le Japon mais aussi avec l'Inde), la Global Exploration Roadmap (GER) ("feuille de route d'exploration globale"). Mars est la cible principale de ce programme, pour après 2035; diverses missions menées par les agences participantes, dont la NASA, atteindront le but du voyage vers la planète rouge soit par le biais d'un premier effort à destination d'un astéroïde soit par celui d'un retour sur la Lune. Enfin, la NASA vient de rendre publique une politique encore plus globale et plus futuriste concernant les véhicules spatiaux pour les décennies à venir: des véhicules serviront à joindre l'ISS alors que d'autres permettront, en vol suborbital, de transporter, en 2 heures ou moins, entre deux points de la Terre, des passagers et des cargaisons. Les éléments essentiels en seront la possibilité de ré-utilisation des véhicules, la fiabilité, un millier de vols par an, trois centres spatiaux ou plus impliqués alors qu'une partie des vols pourraient aussi consister en vols touristiques en orbite voire une demande -fût-elle limitée- en termes de production d'énergie solaire dans l'espace. Pour ce qui est du présent de l'espace américain, on notera que les Etats-Unis sont actuellement dépendants des Soyouz russes pour accéder à l'ISS, que les compagnies privées vont tester en vol leurs lanceurs et capsules ou que l'activité usuelle en orbite ou l'exploration spatiale continuent d'être du ressort de la NASA)

9/24/2011 The Speed of Light Surpassable? A team of physicists as led by Antonio Ereditato at the Gran Sasso Laboratory of the Italian National Institute of Nuclear Physics in Rome, has amazingly measured neutrinos journeying at 186,004 miles per second (300,006 km/s) or 3.7 miles per second (6 km/s) above the speed of light! The experiment called Opera had neutrinos sent from the European nuclear laboratory at the CERN in Geneva, Switzerland to the one of the Gran Sasso in Rome. As they read the value which was steadily measured since 2008, the team decided to re-calculate those during 6 months as the results kept the same. Also the team leader decided to make those measurements public to call the international community of physicists so that they make such measurements in turn, like at the U.S. Minos or the Japanese T2K. Should that be confirmed, that would represent a major challenge to the current theories explaining Nature like the Einstein's Relativity or the Standard Model because the speed of light like a invariant, and insurpassable, constant of nature is at the base of them. Neutrinos are still ill-known, energetic particles dating back to the origins of the Universe and possibly in relation with dark matter. Most recent experiments about Einstein Relativity, on the other hand, mostly proved the theory correct at a high degree of accuracy (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: La vitesse de la lumière peut-elle être dépassée? 24/09/2011 Une équipe de physiciens du laboratoire de Gran Sasso, à Rome, à l'Institut italien de physique nucléaire, menée par Antonio Ereditato a, de façon étonnante, mesuré des neutrinos se déplaçant à 300006 km/s (186004 miles/h) soit 6km/s (3,7 miles/s) de plus que la vitesse de la lumière. L'expérience, appelée "Opera" consistait à envoyer des neutrinos du laboratoire du CERN, à Genève, à celui de Gran Sasso. En constatant ces résultats, invariables depuis 2008, l'équipe avait décidé de refaire les mesures pendant 6 mois mais les résultats sont restés les mêmes. C'est pourquoi Antonio Ereditato a décidé de rendre public le résultat des recherches et a appelé la communauté internationale scientifique à reprendre, à son tour, ces mesures (ainsi l'expérience Minos aux Etats-Unis ou T2K au Japon). Si ces résultats venaient à être confirmés, ils représenteraient un questionnement majeur aux théories fondamentales contemporaines de la physique, la Relativité einsteinienne et le Modèle standard de la physique: la vitesse de la lumière, en effet, considérée comme une constante universelle, invariable et insurpassable, constitue leur base. Les neutrinos, eux, sont des particules encore mal connues, énergétiques qui datent des origines de l'Univers et sont probablement en relation avec la matière noire. Les plus récentes expériences menées à propos de la théorie de la Relativité montrent, par ailleurs, que la théorie reste correcte à de hauts degrés de précision)

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a animated gif showing how dark features seen at Mars match a recurrent seasonality which might hints to running water still nowadays on the Red Planet / cette image animée montre des traces sombres, sur Mars, dont le caractère saisonnier récurrent pourrait signaler que de l'eau s'écoule encore aujourd'hui sur Marsa animated gif showing how dark features seen at Mars match a recurrent seasonality which might hints to running water still nowadays on the Red Planet / cette image animée montre des traces sombres, sur Mars, dont le caractère saisonnier récurrent pourrait signaler que de l'eau s'écoule encore aujourd'hui sur Mars. animated gif site 'Amateur Astronomy' based upon a animated gif NASA/JPL-Caltech/Univ. of Arizona / site 'Amateur Astronomy' sur la base d'une image animée NASA/JPL-Caltech/Univ. of Arizona

8/5/2011 Nearest Thing to Running Water at Mars? Images taken by NASA's Mars Reconnaissance Orbiter, a mission in orbit around Mars, are the best hints so far to that some liquid water still might run at Mars. Dark, seasonal strikes have been imaged along slopes as they match a recurring seasonality which might be linked to water, appearing and extending down from late spring through summer as they fade in winter. Such flows further run down from rocky outcrops linked to ancient, small channels. Several steep slopes show that phenomenon as they are located in the middle latitudes of Mars' southern hemisphere. Flow of liquid brine might be the explanation with saltiness lowering the freezing temperature of water and those springs of sort emanating from the shallow subsurface. A other point is that the features are much narrower than previously reported gullies on Martian slopes while gullies also are abundant on cold, pole-facing slopes as those are on warmer, equator-facing slopes. That also could bode well with salt deposits over much of Mars indicating brines like abundant in Mars' past. Further observations with the MRO's Compact Reconnaissance Imaging Spectrometer for Mars (CRISM), however showed no sign of water. The features, astronomers say, may quickly dry on the surface or could be shallow subsurface flows as such a subterranean flow initiated by briny water could rearrange grains or change surface roughness in a way that darkens the appearance. Frozen water at Mars is more frequent and has been detected near the surface in many middle to high-latitude regions (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Ce qui se rapproche le plus d'eau s'écoulant encore aujourd'hui sur Mars? 05/08/2011 Des images prises par la mission de la NASA, le Mars Reconnaissance Orbiter, une mission en orbite autour de la planè:te, sont ce qui se rapproche le plus, à ce jour, que de l'eau s'écoulerait encore de nos jours. Des traces sombres, saisonnières se voient le long de pentes et elles correspondent à un caractère saisonnier récurrent qui pourrait correspondre à de l'eau: elles apparaissent et dévalent la pente d'entre la fin du printemps et la fin de l'été et elles faiblissent pendant l'hiver. Ces traces, de plus, s'écoulent d'affleurements rocheux qui sont associés à d'anciens canaux martiens de petite taille. Plusieurs pentes fortes montrent un tel phénomène et elles se trouvent aux latitudes moyennes de l'hémisphère sud de Mars. Une explication pourrait être qu'il s'agit d'eau saumâtre liquide: le sel, en effet, abaisse la température du gel de l'eau et ces sortes de source, si l'on peut dire, émaneraient de peu de profondeur en-dessous de la surface. Un autre argument est que les traces observées sont beaucoup plus étroites que les "gullies" (d'autres trace d'écoulement qu'on pense plus liées à l'action de CO2) qu'on a déjà observés sur Mars; les gullies, de plus, s'observent sur les pentes froides, exposées au Nord alors que les traces nouvelles, elles, se trouvent sur des pentes chaudes exposées au Sud. Cela s'accorderait bien aussi avec le fait que des dépôts de sel ont été observés sur toute l'étendue de Mars, lesquels montrent vraisemblablement que de l'eau salée a été abondante autrefois. Cependant, des observations avec le spectromètre Compact Reconnaissance Imaging Spectrometer for Mars ou CRISM du MRO n'ont pas montré de présence d'eau. Mais, disent les astronomes, cela pourrait être dû au fait que les coulures peuvent sécher rapidement ou même qu'il pourrait s'agir de coulures souterraines, peu profondes, lesquelles pourrait ré-arranger la structure ou modifier la rugosité de la surface de telle sorte que celle-ci prenne une couleur plus sombre. De l'eau gelée est beaucoup plus fréquente sur Mars et on en a été détecté près de la surface dans de nombreuses régions des latitudes moyennes)

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That WISE, infrared picture, is showing Earth's Trojan asteroid 2010 TK7 circled in green, as seen in Oct. 
2010 / cette image WISE, dans l'infrarouge, montre le Troyen de la Terre, 2010 TK7, entouré en vert, vu en octobre 2010That WISE, infrared picture, is showing Earth's Trojan asteroid 2010 TK7 circled in green, as seen in Oct. 2010 / cette image WISE, dans l'infrarouge, montre le Troyen de la Terre, 2010 TK7, entouré en vert, vu en octobre 2010. picture courtesy NASA/JPL-Caltech/UCLANASA / NASA/JPL-Caltech/UCLANASA

7/28/2011 First Ever Earth's Trojan Satellite Found! NASA's Wide-field Infrared Survey Explorer (WISE) mission have discovered the first known 'Trojan' asteroid orbiting the Sun along with Earth, one of such asteroids which share a orbit with a planet as they lie at stable, or Lagrangian points in front of or behind the planet. Trojans already were known to exist at Jupiter mostly, and to Mars and Neptune also, or even at two of Saturn's moons. Scientists had predicted Earth should have Trojans, but they were difficult to find because relatively small and daylight objects as they appear close to the Sun as seen from the Earth. The find occurred because the object has an unusual orbit that takes it farther away from the Sun than what is typical for Trojans, or at about 90 degrees instead of the usual 60. The Earth's Trojan asteroid, called 2010 TK7, is roughly 1,000 feet (300 meters) in diameter at a distance no closer Earth than 15 million miles (24 million km) as forecast for the next 100 years. Asteroid 2010 TK7 has an extreme orbit that takes it far above and below the plane of Earth's orbit, a motion referred to as a 'epicycle.' In addition, 2010 TK7 also moves within the plane of Earth's orbit in what is called a libration pattern, as it circles horizontally around its Lagrangian stable point every 395 years. In the accompanying WISE, infrared picture, asteroid 2010 TK7 is circled in green as seen in Oct. 2010 (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: On a trouvé le premier Troyen de la Terre! 28/07/2011 La mission WISE (Wide-field Infrared Survey Explorer) de la NASA a découvert le premier Troyen de la Terre, un de ces astéroïdes qui partage leur orbite avec une planète du fait qu'ils se trouvent à deux points de Lagrange, des points stables en avant ou en arrière de la planète. On savait que des Troyens sont associés à Jupiter, surtout ou à Mars, Neptune voire deux satellites de Saturne. Les astronomes avaient prédit que la Terre devait aussi en avoir mais ils sont difficiles à découvrir car ce sont des objets relativement petits et qu'on ne peut observer que de jour car, vus de la Terre, ils sont toujours très près du Soleil. La découverte de ce Troyen de la Terre n'a été rendu possible que parce qu'il a une orbite inhabituelle et qu'elle le mène plus loin du Soleil, aux alentours de 90° et non 60° comme cela est le cas de la plupart des astéroïdes de ce type. Le Troyen de la Terre a été appelé 2010 TK7; il mesure 300m (1000ft) de diamètre et, sur les 100 ans qui viennent, ne s'approchera jamais à plus de 24 million de km (15 millions de miles) de notre planète. 2010 TK7 a une orbite extrême qui l'emmène loin au-dessus ou au-dessous du plan de l'orbite terrestre, un mouvement qu'on appelle "épicycle". De plus 2010 TK7 se déplace aussi dans le plan de l'orbite en termes de ce qu'on appelle une libration: horizontalement, il semble tourner autour du point de Lagrance tous les 395 ans. Dans l'image WISE ci-dessus, dans l'infrarouge, 2010 TK7 est entouré en vert et vu en octobre 2010)

7/23/2011 Another Moon Discovered at Pluto! A fourth moon had been discovered to Pluto, the ultimate planet of the solar system, with the Hubble Space Telescope by July 2011. The tiny, new satellite has been temporarily designated P4 as the discovery is due to a Hubble survey searching for rings around the planet and supporting the New Horizons mission which is currently en route to those faraway reaches. It has an estimated diameter of 8 to 21 miles (13 to 34 km). By comparison, Charon, Pluto's largest moon, is 648 miles (1,043 km) across, and the other moons, Nix and Hydra, are in the range of 20 to 70 miles in diameter (32 to 113 km). The new moon is located between the orbits of Nix and Hydra, which Hubble discovered in 2005. Charon was discovered in 1978 at the U.S. Naval Observatory and first resolved using Hubble in 1990. Pluto's entire moon system is believed to have formed by a collision between Pluto and another planet-sized body early in the history of the solar system. The smashup flung material that coalesced into the family of satellites observed around Pluto. P4 was first seen in a photo taken with Hubble's Wide Field Camera 3 on June 28. It was confirmed in subsequent Hubble pictures taken on July 3 and July 18. The moon was not seen in earlier Hubble images because the exposure times were shorter. There is a chance it appeared as a very faint smudge in 2006 images, but was overlooked because it was obscured (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Encore un satellite pour Pluton! 23/07/2011 Un quatrième satellite de Pluton, la dernière planète du système solaire, a été découvert par le télescope spatial Hubble en juillet 2011. Il s'agit d'un très petit objet, provisoirement appelé "P4" qui a été observé alors que le télescope spatial essayait de trouver des anneaux à Pluton dans le cadre du soutien qu'il apporte à la mission New Horizons, actuellement en route pour le monde lointain. P4 a un diamètre estimé de 13-34 km (8-21 miles); par comparaison, Charon, le plus gros satellite mesure 1043 km (648 miles) et les deux autres satellites de Pluton, Nix et Hydra ont une taille d'aux alentours de 32-113 km (20-70 miles). P4 orbite entre les orbites de Nix et Hydra, satellites que Hubble avait déjà découverts en 2005 (Charon avait été découvert en 1978 par le U.S. Naval Observatory et avait été imagé en 1990 par Hubble. On pense que l'ensemble des lunes de Pluton se sont formées du fait d'une collision entre la planète et un autre corps de type planétaire aux débuts de l'histoire du système solaire. La collision a satellisé des matériaux qui ont fini par se ré-agréger en les satellites qu'on observe actuellement. La lune P4 a d'abord été repérée sur une photo de la Wide Field Camera 3 du télescope spatial Hubble le 28 juin. Elle a été confirmée sur des images suivantes, prises les 3 et 18 juillet. On n'avait pas détecté P4 sur des images antérieures de Hubble car les temps d'exposition étaient trop courts (il est possible qu'elle soit apparue comme un très faible objet flou sur des imgages de 2006 mais on n'y avait pas prêté attention car trop sombre))

7/19/2011 Obama Space Plan Clearer with Time! With time the Obama administration space program for the USA is eventually become clearer. As of July 2011, a good summary may be the following. NASA, like a governmental space agency, is to focus on deep space exploration sending astronauts to asteroids and Mars as private companies are to take over the cargo and crew taxi to the orbit, mostly to the ISS, with even some space tourism included. As far as the role of NASA in space exploration is concerned it is to rely upon a next-generation heavy-lift rocket known as the Space Launch System (SLS) and the 'Multi-Purpose Crew Vehicle,' a new crewed capsule builing heavily upon the Orion vehicle of the former Bush administration space plan. The SLS, generally, has been late because, once a reference design chosen it is now being submitted for cost assessments to both the administration and a consulting firm. Such new deep space tools should allow NASA to get astronauts to a asteroid by 2025 and then to Mars by the mid-2030's. As far as the private companies are concerned, four mostly are involved, with Blue Origin, Kent, Wash. Sierra Nevada Corporation, Louisville, Colo., a high-tech government contractor. Space Exploration Technologies (SpaceX), Hawthorne, Calif., a company run by PayPal founder Elon Musk with the Falcon rocket and the Dragon capsule. And The Boeing Company, which has a partnership too, through United Launch Alliance with Lockheed Martin Corp. of Bethesda, Maryland. Orbital Sciences Corp. of Dulles, Virginia, at last, was one of the first private space companies with his Taurus rockets and since a while already contracting with NASA, and launching from the Wallops Island facilities. NASA's assets also are to be shared with those private companies like the Kennedy Space Center (KSC) turning into a multi-user spaceport or also other NASA field centers involved. Even the launch site at the Vandenbergh AFB is concerned with SpaceX's Falcon Heavy, a 27-engine booster to launch from a renovated old launch pad built in the 1960's. Such private rockets should launch for customers including NASA, the military, foreign governments and satellite builders. All in all and at the opposite of the bold Bush administration program, it sounds like the move is the concretization of the influence some private, likely Obama-minded, partners already had taken into NASA's activities, a lesser emphasize upon space exploration like flagship US space endeavours, and the ISS like a main orbital, and international collaborative activity. Some in the USA still complain that the leadership of the USA in terms of space is threatened, especially at a time when other space-able or enabling nations are aiming to space in terms of military activities or in terms of prestige (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Le plan Obama pour l'espace américain devient plus clair avec le temps. 19/07/2011 Le temps passant, le programme spatial de l'administration Obama pour les Etats-Unis commence de devenir plus clair. La NASA, agence gouvernementale, va se centrer sur l'exploration du système solaire et envoyer des astronautes sur des astéroïdes puis sur Mars alors que des compagnies privées vont prendre en charge les vols équipage et cargo à destination, essentiellement, de l'ISS avec, aussi, quelques activités de tourisme spatial. Pour ce qui est de l'exploration menée par la NASA, elle va se fonder sur un lanceur lourd de nouvelle génération dit le "Space Launch System" ("système de lancement spatial", ou SLS) et sur le "Multi-Purpose Crew Vehicle" ("véhicule multi-fonction pour équipage"), une nouvelle capsule qui reprend largement la capsule Orion de l'ancien plan spatial de l'administration Bush. Le SLS, d'une façon générale, a pris du retard car, une fois le design choisi, il faut maintenant que les coûts de réalisation soient estimés par l'administration aussi bien que par une firme de consulting privée. Ces nouveaux outils spatiaux devraient permettre à la NASA d'envoyer des astronautes sur un astéroïde en 2025 puis, vers 2035, sur Mars. Pour ce qui est des compagnies privées qui entrent dans le marché de l'espace, quatre, surtout, sont concernées: Blue Origin, de Kent, dans l'état de Washington; Sierra Nevada Corporation, de Louisville, dans le Colorado, une compagnie spécialisée dans les hautes technologiques et déjà contractante du gouvernement américain. Space Exploration Technologies (SpaceX), de Hawthorne, en Californie, une compagnie dirigée par le fondateur de la compagnie internet PayPal, Elon Musk, avec sa fusée Falcon et la capsule Dragon. Enfin, Boeing (dont le nom officiel est, depuis un moment, "The Boeing Company"), qui possède aussi un partenariat, via United Launch Alliance, avec Lockheed Martin Corp. La société Orbital Sciences Corp. de Dulles, en Virginie, elle, l'une des premières compagnies spatiales américaines privées, avec ses fusées Taurus, qui est déjà dans des relations contractuelles avec la NASA depuis un certain temps, lance du site de Wallops Island. On notera que les équipements de la NASA sont également impliqués dans cette nouvelle vision de l'espace américain: le Kennedy Space Center de Floride va se transformer en un "spaceport" ("port spatial" littéralement) multi-usagers alors que les autres centres de la NASA sont aussi concernés. Même le site de lancement de la Vandenbergh Air Force Base, en Californie, fait partie du mouvement: la Falcon Heavy, un lanceur à 27 moteurs de la compagnie SpaceX, décollera d'un pas de tir ancien, des années 1960, qui a été rénové. Ces fusées de lancement privées devraient fournir leurs services pour divers clients: la NASA, l'armée américaine, des pays étrangers ou des sociétés privées. Au total donc -et à l'opposé de l'ancien plan audacieux de l'administration Bush- il semble bien que l'orientation du programme spatial des Etats-Unis est concrétisation de l'influence qu'avaient prise certaines compagnies privées -vraisemblablement pro-Obama- dans les activités de la NASA, importance moindre accordée à l'exploration en tant qu'activité-phare et l'ISS principale activité orbitale et support d'une collaboration internationale. Certains, aux Etats-Unis, continuent de penser que le leadership américain en matière spatiale est menacé, surtout à une époque où d'autres nations ayant -ou développant- une capacité spatiale- visent l'espace en termes d'activités militaires ou en termes de politique de prestige)

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- no news for that month / pas de nouvelles pour ce mois -

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5/25/2011 What About First Rumors of a Discovery at the LHC? By April 2011, some result from the Large Hadron Collider, that new atom smasher in Switzerland aiming to get deeper into the world of particles, seemed to hint to the discovery of the so-called 'God particle,' or the Higgs boson, a particle supposed to give others their mass. Experiments performed with the Tevatron particle accelerator at Chicago's Fermilab facility did not confirm the find as the physicists community come to say that the chances are 50/50 now for the Higgs boson to exist, or not. LHC main summer conferences by the end of July shoud have a definite word about such a first rumor. What was seen however, if not the Higgs boson is neither a known particle as a other point of view is that scientists at the Fermilab suspect the LHC physicists to uncorrectly model the Standard Model background for their experiments! Tevatron should close definitively by mid-2011 as any definite answer should come by the end of 2012 at the LHC (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Que penser des premières rumeurs de découvertes au LHC? 25/05/2011 En avril de cette année, certains résultats obtenus au LHC, à Genève, ce super-accélérateur de particules qui permet d'aller plus loin dans le monde de la physique, ont semblé laissé penser que ce qu'on appelle la "particule de Dieu" -le boson de Higgs, une particule qui donne leur masse à toutes les autres- aurait été trouvée. Mais les chercheurs américains, à l'accélérateur Tevatron du laboratoire Fermilab de Chicago, n'ont pas confirmé la découverte. La communauté scientifique internationale en est à dire, actuellement, qu'il y a 50% de chances que le boson de Higgs existe, ou pas. Des conférences de synthèse au LHC, fin juillet, devraient définitivement se prononcer sur la rumeur. Cependant, si le LHC n'a pas repéré le boson de Higgs, il semble qu'il ne s'agisse pas non plus d'une quelconque particule connue et un autre point de vue -celui des chercheurs du Fermilab- est même que les scientifiques du LHC modélisent de façon incorrecte la toile de fond du Modèle Standard qu'ils utilisent... Le Tevatron américain doit fermer définitivement à la mi-2011 et, pour ce qui est du LHC, une réponse définitive à la question du boson de Higgs devrait avoir lieu à la fin 2012)

5/25/2011 The MPCV, the New Deep Space NASA Craft as Inspired of the Orion Capsule! Recentest decision about the US space has come on May 24th, 2011 from NASA Headquarters, where NASA Administrator announced that the USA were to keep building a new NASA craft to carry humans into deep space. It will be based on designs originally planned for the Orion Crew Exploration Vehicle of the former, Bush administration Constellation program. Those plans now will be used to develop a new spacecraft known as the Multi-Purpose Crew Vehicle (MPCV). The move looks well like a arbitrage between transportation to the ISS as transferred to the private sector and deep space exploration craft and heavy lift launchers as still holding by NASA. Lockheed Martin Corp. will be working to develop the MPCV -as it was in charge of the Orion- as the spacecraft now is to four astronauts for 21-day missions and be able to land in the Pacific Ocean off the California coast. The spacecraft will have a pressurized volume of 690 cubic feet, with 316 cubic feet of habitable space. It will be designed to be 10 times safer during ascent and entry than the space shuttle was (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Le MPCV sera le nouveau vaisseau habité de la NASA pour les missions lointaines et il sera inspiré de la capsule Orion. 25/05/2011 La plus récente décision en matière spatiale aux Etats-Unis vient du QG de la NASA. Le directeur de l'agence, le 24 mai 2011, a annoncé que les Etats-Unis allaient continuer de construire un nouveau vaisseau habité pour emporter des astronautes dans des missions lointaines. Il sera basé sur les concepts qui étaient prévus, à l'origine, pour la capsule Orion, qui avait été conçue pour le programme Constellation tel que défini par l'administration Bush. Ces plans vont donc maintenant servir à construire ce qui s'appellera le "Multi-Purpose Crew Vehicle" ou MPCV ("véhicule habité multi-usage"). Il apparaît bien qu'on a là un arbitrage entre le fait que l'accès à l'ISS va être délégué au secteur privé alors que les vaisseaux et les lanceurs lourds à usage de l'exploration du système solaire restent du ressort de la NASA. C'est la firme Lockheed Martin Corp. qui va construire le MPCV puisqu'elle avait été chargée de l'Orion. La capsule, désormais, emportera 4 astronautes pour des missions de 21 jours et atterrira en mer, dans l'Océan Pacifique, au large des côtes californiennes. Elle aura un volume pressurisé de 62,1 m3 dont 28,5 m3 d'espace habitable. Elle sera conçue pour être, pendant les phases de lancement et de retour, 10 fois plus sûres que la navette spatiale)

5/5/2011 50 Years Ago the USA Went Suborbital! The response of the USA to the first manned space flight of Soviet Union's Yuri Gagarin occurred by 23 days after only, on May 5th, 1961, or 50 years ago! That day, astronaut Alan B. Shepard Jr. launched at 9:34 a.m. EST aboard his Freedom 7 capsule atop a Redstone booster, the Mercury-Redstone 3. Alan B. Shepard had been born Nov. 18th, 1923 and he died July 21st, 1998 at the age of 74. He graduated from the United States Naval Academy in 1944. He then became a test pilot, flying multipe Navy fighter jets. He was named by NASA one of the 'Original Seven' Mercury astronauts in April 1959. Hampered with a inner ear disorder he eventually was restored to full flight status and named commander of the Apollo 14 mission, famously driving a golf ball on the Moon. Alan Shepard, with his flight became the first Americain in space. That first flight of the Mercury program however kept suborbital with a 116.5 miles in altitude reached, a duration of 15 minute and 28 seconds as 303 miles were performed at a velocity of 5,134 mph. Alan Shepard wore for a flight suit a modified version of a U.S. Navy high altitude jet aircraft pressure suit, with a inner layer of Neoprene-coated nylon and a outer layer of aluminized nylon. The flight occurred over the Atlantic Ocean, from Cape Canaveral, Fla. Main steps were liftoff, escape rocket separation, booster-capsule separation, attitude control, with the aft of the capsule turned in the direction of flight and, eventually back to the surface with a parachute deployment. Landing occurred in the sea, with a recovery. The vehicle had experienced some vibration about a minute and a half into flight when it pierced the area of peak aerodynamic pressure, but Shepard enjoyed a smoother ride as the Redstone pushed skyward. One of the significant aspect of the flight is that it was the first space manned event to play out before journalists and the public and the world able to share in the tension and excitement as the historic event unfolded on television in real time (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Il y a 50 ans, les Etats-Unis effectuaient leur premier vol suborbital! 05/05/2011 Il y a 50 ans, le 5 mai 1961, avait lieu la réponse américaine au succès soviétique du premier vol spatial, celui de Gagarine, qui avait eu lieu 23 jours plus tôt. Ce jour-là, Alan B. Shepard Jr. décolla à 9h 34 heure d'été de la côte est américaine à bord de la capsule Freedon 7. Le lancement eut lieu au sommet d'une fusée Redstone, la Mercury-Redstone 3. Alan Shepard était né le 18 novembre 1923 (il mourut le 21 juillet 1998, àgé de 74 ans). Diplômé de la United States Naval Academy en 1944, il devint par la suite pilote d'essais, volant à bord de nombreux jets de combat de l'U.S. Navy. Il fut choisi par la NASA, en avril 1959, comme l'un des 7 premiers astronautes américains (dits, en anglais, les "Original Seven"). Handicapé par la suite par un problème d'oreille interne, il fut de nouveau autorisé à voler et fut le commandant de la mission Apollo 14 -au cours de laquelle, de façon mémorable, il tapa, à la surface de la Lune, dans une balle de golf. Alan Shepard devint ainsi le premier américain dans l'espace. Le vol, cependant, ne fut que sub-orbital, atteignant 187 km d'altitude, une durée de 15 mn et 28 secondes, sur une distance de 488 km et une vitesse de 8260 km/h. L'astronaute, pour le vol, portait comme scaphandre une version modifiée de la tenue de vol à haute altitude pressurisée des pilotes de l'U.S. Navy. Elle comportait une couche intérieure en nylon recouvert de néoprène et une couche extérieure en nylon aluminisé. Le vol se déroula au-dessus de l'océan Atlantique, à partir de Cap Canaveral, en Floride. Les étapes consistèrent en le décollage, la séparation du système de secours, la séparation fusée de lancement-capsule, le contrôle d'attitude -l'arrière de la capsule étant tourné dans le sens du vol et, finalement, le retour à la surface via le déploiement d'un parachute. L'atterrissage eut lieu en mer, une équipe venant récupérer l'astronaut et la capsule. La capsule, au lancement, alors qu'elle traversait la zone du pic de la pression aérodynamique, subit des vibrations pendant 1 minute et demi mais le vol devint calme au fur et à mesure que la fusée prenait de l'altitude. L'un des aspects remarquables de ce vol est qu'il fut le premier évènement spatial habité qui se déroula devant les journalistes et les téléspectateurs: on put partager, pour la première fois, la tension et l'excitation d'un évènement historique qui se déroulait en direct)

5/2/2011 The LHC Getting To a Power Allowing Innovating Discoveries Now! The Large Hadron Collider (LHC), the world largest atom smasher as set in Geneve, managed to establish the new world beam intensity record on April 22nd, 2011, reaching a luminosity of 4.67x1032 cm-2s-1, which is larger than the world record of 4.024x1032cm-2s-1, which had been set by the Fermi National Accelerator Laboratory's Tevatron collider in Batavia, Ill., in 2010. The 115 GeV Higgs boson, the famed 'God's particle,' a particle supposed to give others their mass is a important target of the atoms' collisions made at the LHC. If real, it will be created in the LHC only occasionally only as, with the new intensities of the LHC, physicists should know soon. A rumor lately floated in the physics community that the Higgs boson may have been detected with a bump in data as it might also likely be a statistical anomaly only. The signal might altogether be evidence of some other particle or be the result of new physics beyond the Standard Model. Two weeks earlier, scientists at the Tevatron at the Fermilab had also discovered some bump. Two colliders however work in different ways, one smashing protons and antiprotons, as the LHC is colliding protons with other proton (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Le LHC atteint des puissances qui permettent des découvertes innovantes! 02/05/2011 Le LHC ("Large Hadron Collider") de Genève, le plus grand accélérateur de particules au monde, a établi le nouveau record mondial d'intensité le 22 avril 2011, atteignant 4.67x1032 cm-2s-1. Cette valeur dépasse donc les 4.024x1032cm-2s-1 qui avaient été établis en 2010 par le Tevatron du Fermi National Accelerator Laboratory, l'accélérateur américain situé à Batavia dans l'Illinois. Le boson de Higgs (d'une énergie de 115 GeV), que certains appellent la "particule de Dieu", particule censée donner leur masse aux autres est une cible importante visée par les collisions réalisées au LHC. S'il existe, il n'y sera produit qu'occasionnellement. Avec ces nouvelles énergies atteintes, les physiciens devraient bientôt savoir si ce boson existe ou pas. Une rumeur s'est récemment développée parmi la communauté scientifique selon laquelle le boson de Higgs aurait été détecté: on aurait détecté un saut dans les données obtenues. Mais cela pourrait aussi bien être une simple anomalie statistique tout comme le signal pourrait être la preuve d'une autre particule voire le résultat d'une physique d'au-delà le Modèle standard. Deux semaines auparavant, les physiciens du Tevatron, au Fermilab, avaient également détecté un saut de données. Les deux accélérateurs de particules, cependant, travaillent de deux façons différentes: l'un, le Tevatron, fait entrer en collision des protons et des antiprotons, l'autre, le LHC, des protons)

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4/14/2011. NASA Unveiled the Locations and Institutions Where the Retired Space Shuttles Will be Displayed! On April 12th, 2011, NASA made public the locations where the retired Space Shuttle program three orbiters will be displayed permanently. As Enterprise, the first Space Shuttle Orbiter which had been built for test purposes only, is now to be found at National Air and Space Museum's Steven F. Udvar-Hazy Center in Chantilly, Virginia, it will be moved to the Intrepid Sea, Air & Space Museum in New York. Shuttle Discovery will locate at the Udvar-Hazy Center. Shuttle Endeavour will be allocated to the California Science Center in Los Angeles as Shuttle Atlantis will be displayed at the Kennedy Space Center Visitor’s Complex in Florida. NASA stated that such choices provide the greatest number of people with the best opportunity to see the orbiters as the facilities chosen have a noteworthy legacy of preserving space artifacts and providing outstanding access to U.S. and international visitors. Also, hundreds of shuttle artifacts have been allocated to museums and education institutions, like various shuttle simulators for the Adler Planetarium in Chicago, the Evergreen Aviation & Space Museum of McMinnville, Ore., and Texas A&M's Aerospace Engineering Department. A Full fuselage trainer will go in the Museum of Flight in Seattle. A Nose cap assembly and crew compartment trainer in the National Museum of the U.S. Air Force at Wright-Patterson Air Force Base in Ohio, or flight deck pilot and commander seats at the NASA's Johnson Space Center in Houston. Orbital maneuvering system engines have been allocated for the U.S. Space and Rocket Center of Huntsville, Ala., National Air and Space Museum in Washington, and Evergreen Aviation & Space Museum. 5 orbiters really flew during the Space Shuttle program, the three mentioned above, as both Challenger and Columbia were destroyed in dramatic accidents, in January 1986 and February 2003 respectively (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: La NASA révèle les lieux où seront exposées les navettes spatiales après la fin du programme. 14/04/2011 Le 12 avril 2011, la NASA a rendu publics les lieux où seront exposées, de façon permanente, les 3 navettes spatiales qui, actuellement, arrivent à la fin de leur programme (note: les noms des institutions sont conservés dans leur forme américaine). Enterprise, la première navette -qui n'avait été construite que pour les tests- qui se trouve actuellement au "Steven F. Udvar-Hazy Center" du "National Air and Space Museum (Chantilly, Virginie; une annexe du célèbre Musée de l'Air et de l'Espace, qui se trouve sur le Mall, à Washington), sera transférée au "Intrepid Sea, Air & Space Museum", à New York. La navette Discovery prendra sa place au Udvar-Hazy Center. La navette Endeavour a été attribuée au "California Science Center" de Los Angeles et la navette Atlantis sera exposée au "Kennedy Space Center Visitor’s Complex", en Floride (la zone du centre de lancement consacrée aux visites touristiques). La NASA pense que ces choix permettront au plus grand nombre de voir les navettes au mieux et que les institutions choisies sont notoirement connues pour savoir conserver des éléments liés à l'activité spatiale et pour savoir accueillir les touristes aussi bien américains qu'étrangers. De plus, des centaines d'éléments et de pièces liées au programme de la navette spatiale seront répartis entre divers lieux. Ainsi, différents simulateurs du programme iront au "Adler Planetarium" de Chicago, au "Evergreen Aviation & Space Museum" de McMinnville, dans l'Orégon et au "A&M's Aerospace Engineering Department", au Texas. Un simulateur avec fuselage entier a été attribué au "Museum of Flight" de Seattle. Un ensemble nez-simulateur de compartiment équipage va aller au "National Museum of the U.S. Air Force" à Wright-Patterson Air Force Base dans l'Ohio alors que des sièges de pilote et de commandant rejoindront le Johnson Space Center à Houston. Les moteurs du "Orbital Maneuvering System", ces moteurs situés près de la queue de la navette seront accueillis par le "U.S. Space and Rocket Center" de Huntsville, dans l'Alabama, le "National Air and Space Museum" de Washington et le "Evergreen Aviation & Space Museum". 5 navettes ont volé pendant la durée du programme, les trois mentionnées ci-dessus et les navettes Challenger et Columbia. Ces dernières, malheureusement, ont disparu dans de tragiques accidents, respectivement en janvier 1986 et février 2003)

4/8/2011. New, Unknown Minerals Found on A Meteorite! Within a enstatite chondrite meteorite, which may have originated from the Asteroid Belt and found in Antarctica in 1969, scientists found a new type of mineral and named it 'Wassonite', a name approved by International Mineralogical Association. It honors John T. Wasson, professor at the University of California, Los Angeles (UCLA) known for his achievements across a broad swath of meteorite and impact research. Wassonite is a tiny mineral formed from only two elements, sulfur and titanium as it however possesses a unique crystal structure that has not been previously observed in nature. Wassonite in the meteorite is further surrounded by additional unknown minerals that are being investigated. Materials found on meteorites are considered samples of the earliest times of the solar system (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Des minéraux encore inconnus découverts sur une météorite. 08/04/2011 Des chercheurs ont trouvé un nouveau type de minéral, qu'ils ont appelé de la "wassonite", sur une météorite de type enstatite chondrite qui vient probablement de la ceinture des astéroïdes et qui avait été trouvée en Antarctique en 1969. Le nouveau nom a été approuvé par l'Association Minéralogique Internationale; il rend hommage à John T. Wasson, professeur à l'université de Californie (UCLA) et connu pour ses travaux sur les météorites et les impacts. La wassonite est un minéral minuscule qui n'est formé que de 2 éléments, du souffre et du titane mais il possède cependant une structure cristalline unique qui n'avait jamais été observée jusque là dans la nature. La wassonite de la météorite, de plus, est entourée d'autres minéraux inconnus, qui vont faire l'objet d'une étude. On pense que les matériaux que l'on trouve sur les météorites viennent des origines du système solaire)

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3/19/2011. Iran Now Aiming to Manned Spaceflight and Man on Moon! Iran, by March 17th, 2011 launched a capsule on a new, Kavoshgar-4 rocket ('Kavoshgar' meaning 'Explorer' in Farsi) as that capsule is designed to carry a monkey or other living beings into orbit. Both the new vehicles had been unveiled early February. Iran already had launched a rat, two turtles and a worm in February last year. According to Iranian officials, such a move is one of steps aiming towards manned spaceflight by the horizon 2020 and even to put a man on Moon by 2025! The international community always fears that Iranian dual-use technology might also serve a military buildup and anyway to build prestige (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: L'Iran vise maintenant à terme les vols habités et même un Iranien sur la Lune! 19/03/2011 L'Iran, le 17 mars 2011, a lancé une capsule spatiale au sommet d'une nouvelle fusée, la Kavoshgar-4 ("Kavoshgar" signifiant "explorateur" en farsi); cette capsule est conçue pour emporter un singe ou d'autres êtres vivants. Les deux nouveaux véhicules spatiaux avaient été dévoilés début février. L'Iran a déjà lancé en orbite un rat, 2 tortues et un ver en février 2010. Selon les autorités iraniennes, ce lancement fait partie d'un programme qui vise les vols habités à l'horizon 2020 et même d'envoyer un Iranien sur la Lune en 2025... La communauté internationale pense que la technologie iranienne pourrait être à double usage et servir aussi aux visées militaires de ce pays ainsi qu'à développer le prestige de celui-ci)

3/17/2011. Most Recent Decisions of NASA Regarding the US Access to the ISS. By March 2011, NASA a signed a modification to the current International Space Station contract with the Russian Federal Space Agency, in terms of Soyuz craft for crew transportation, rescue and related services from 2014 through June 2016, including all necessary training and preparation for launch, flight operations, landing and crew rescue of long-duration missions for 12 individual space station crew members. NASA, on a other hand, is stressing that it made Commercial Crew Development awards in 2010 to stimulate efforts within the private sector, encouraging them to develop and demonstrate human spaceflight capabilities so these systems will be available by the middle of the decade. and provide primary transportation to and from the International Space Station for U.S., Canadian, European and Japanese astronauts. To ensure a smooth transition as this new capability is developed, Soyuz support will continue as a backup capability for about a year after commercial services begin. The contract will provide for the launch of six people in calendar year 2014 and six more in 2015, as well as their return to Earth in the spring of 2016 after a six-month stay aboard the station (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Les plus récentes décisions de la NASA en matière d'accès américain à l'ISS. 26/02/2011. La NASA, en mars 2011, a signé une modification au contrat qui la lie actuellement, concernant l'ISS, à l'agence spatiale russe en termes de transport, via des Soyouz, d'équipages, de vols de secours et autres services liés de 2014 à juin 2016. Cela comprend aussi tout ce qui concerne les entraînements et préparatifs des lancements, les opérations de vol, les atterrissages et les éventuels vols de secours en relation avec des missions de longue durée, le tout pour 12 membres d'équipage. La NASA, dans le même temps, insiste sur le point qu'elle a créé, en 2010, des prix en matière de création d'un véhicule habité commercial ("Commercial Crew Development") de façon à encourager les efforts du secteur privé et amener à la création et essai de vols habités, qui deviendraient opérationnels vers 2015. Ce, ou ces, nouveaux véhicules permettrait l'accès ISS pour les astronautes américains, canadiens, européens et japonais. Pour assurer une transition souple avec ces véhicules du secteur privé américain, des vols Soyouz continueraient à titre de systèmes éventuels de remplacement pendant 1 an après leur entrée en service. Le nouveau contrat prévoit le lancement de 6 astronautes en 2014 et six en 2015 et leur retour sur Terre au printemps 2016 après un séjour de 6 mois à bord de l'ISS)

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2/26/2011. Tyche or Nemesis? What's Lurking in The Oort's Cloud? A duo of planetary astronomers grabbed media attention by claiming a planet four times the size of Jupiter may be lurking in the outer solar system, calling it the planet Tyche. Both astronomers have been making a case for Tyche since 1999, suggesting that the giant planet's presence in a far-flung region of solar system called the Oort cloud would explain the orbital peculiarities of some comets that originate there. As that pattern persisted, the astronomers are stressing that if a statistical fluke, such a likelihood has lessened as more data has accumulated in the past 10 years. NASA's infrared WISE telescope -which recently ended its mission- might hold a clue from its immense database but Tyche's spectrum is uncertain and many signals might be similar to that and take time to identify. Other astronomers are not Tyche believers, hinting to that only large perturbers may hand there, or question the accurateness of the statistics used, leading to that the gravitational effects of a large planet in the Oort cloud is in fact very subtle and not statistically significant. Others furthers claim that the culprit is Jupiter to explain the excess of comets, when the gas giant is on the other side of the Sun on its orbit. Most astronomers also aren't even sure that such an excess of comets exists in the first place. Tyche would have a period of a few million years on a circular orbit. Analysis of WISE data over the next couple of years will be needed to determine if WISE has actually detected such a world or not and it is not a foregone conclusion that that study could confirm whether or not Tyche exists. At such a distance, the planet would be too cold and faint for a visible light telescope to identify but infrared ones only. In the 1980s, a different companion to the Sun had been hypothesized and named for the Greek goddess "Nemesis,' also to explain periodic mass extinctions on the Earth, following a highly elliptical orbit, perturbing comets in the Oort Cloud roughly every 26 million years. Recent scientific analysis no longer supports the idea that extinctions on Earth happen at regular, repeating intervals, with the Nemesis hypothesis no longer needed. The more circular orbit of Tyche would not cause devastating effects to Earth. The name 'Tyche,' Nemesis benevolent sister, was chosen to distinguish the planet from malevolent 'Nemesis' (drapeau français, texte français (spécial archives Nouvelles) French translation: Y a-t'il une planète dans le nuage de Oort? 26/02/2011. Deux astronomes ont récemment fait la une en affirmant qu'une planète 4 fois la taille de Jupiter se trouverait dans les lointains du système solaire. Ils l'ont appelée Tyché. Ils l'affirment depuis 1999 et laissent penser que la présence de cette planète géante dans le nuage de Oort expliquerait les particularités orbitales de certaines comètes qui en proviennent. Comme, depuis, ces particularités persistent, ils soulignent que s'il s'agissait d'un problème statistique, cette persistance en amoindrit désormais la possibilité puisque plus de données ont ainsi été accumulées en 10 ans. La mission WISE de la NASA, un télescope dans l'infrarouge qui vient de terminer sa mission, pourrait détenir la clé dans son immense base de données. La signature de Tyché, cependant, resterait incertaine et de nombreux signaux recueillis par la mission pourraient être similaires. Il faudrait donc du temps pour l'identifier. D'autres astronomes, par ailleurs, ne croient pas en Tyché -ils pensent que seuls des corps de masse importante jouent les perturbateurs dans le nuage de Oort- et d'autres encore questionnent la précision des statistiques utilisées, soulignant que les effets d'une planète importante dans cette région seraient très subtils et non statistiquement significatifs. D'autres, enfin, pensent que les perturbations et l'excès de comètes viendraient de Jupiter lorsque celle-ci se trouve vers le moment de sa conjonction. La plupart des astronomes ne sont, enfin, même pas sûrs qu'il existe réellement un excès de comètes provenant du nuage de Oort. Tyché orbiterait en quelques millions d'années sur une orbite circulaire. Il va falloir au moins deux ans pour analyser les données venant de la mission WISE pour savoir si le télescope a, ou pas, détecté cet objet et on n'est pas certain qu'une telle recherche va pouvoir en confirmer l'existence ou pas. A cette distance, la planète est inaccessible aux télescopes dans la lumière visible car elle est trop froide et trop sombre; seuls les télescopes infrarouges peuvent y avoir accès. Dans les années 1980, on avait déjà émis l'hypothèse d'une planète dans cette région, qu'on avait appelée Némésis, du nom d'une déesse grecque. Elle aussi aurait expliqué, du fait d'une orbite hautement elliptique, que, tous les 26 millions d'années, des comètes auraient été perturbées dans le nuage de Oort et seraient venues dans le système solaire intérieure, y déclenchant, pour ce qui est de la Terre, des extinctions de masse. Les recherches récentes, cependant, ne pensent plus que les extinctions de masse sur Terre ont eu lieu à intervalles réguliers -et répétitifs. Aussi, l'hypothèse Némésis n'est-elle plus nécessaire. L'orbite plus circulaire de Tyché n'engendrerait pas de conséquences néfastes pour la Terre. Le nom "Tyché" a été choisi car il s'agit de la soeur bienveillante de Némésis)

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Website Manager: G. Guichard, site 'Amateur Astronomy,' http://stars5.6te.net. Page Editor: G. Guichard. last edited: 1/16/2012. contact us at ggwebsites@outlook.com
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