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image décorative pour les pages principales flèche retour Les astronautes américains

La première promotion d'astronautes de la NASA

le major John Glenn se préparant à un volle major John Glenn se préparant à un vol. NASA

Seuls 330 Américains sont devenus des astronautes de la NASA, les premiers étant les "Original Seven", les sept premiers astronautes du programme Mercury de 1959. Au total, ce sont près de 45000 personnes qui, au total, ont présenté leur candidature à la NASA. Une fois créée, en 1958, l'agence spatiale américaine, la NASA, demanda aux différentes branches de l'armée de lui fournir une liste de personnes remplissant un certain nombre de conditions, parmi lesquelles une expérience de vol sur jet et une formation d'ingénieur. Après sélection, 7 personnes furent retenues. Elles devinrent les premiers astronautes américains. C'étaient tous des hommes, et tous étaient des pilotes. On les appela les "Original Seven", les "7 d'origine". Depuis, la NASA a sélectionné 18 autres groupes d'astronautes, avec un total de 321 astronautes. Dès le début des années 1960, les deuxième -connue sous le nom des "New Nine" (les "neufs nouveaux")- et troisième promotions inclurent des civils (ils avaient cependant une expérience complète de pilotes) et, dès 1964, les demandes de la NASA changèrent de sens, l'accent étant mis sur les capacités universitaires (en 1965, six scientifiques astronautes firent part du 4ème group de sélection des astronautes). On notera qu'en 1969, un groupe de 7 astronautes de l'U.S. Air Force rejoignirent la NASA, le programme de laboratoire spatial habité ("Manned Orbiting Laboratory") ayant été annulé; ce groupe est connu, en anglais, sous le nom de "Group 7" ("groupe 7"). Un autre élément important à prendre en compte, pour ce qui est de la sélection des astronautes de la NASA, est qu'il y a eu, en quelque sorte, la période qui a précédé la navette spatiale et la période de celle-ci. Le premier groupe de candidats astronautes pour la navette fut sélectionné en janvier 1978. Les groupes d'astronautes de la navette spatiale comprennent des pilotes et des "spécialistes de mission" ("mission specialists"). Depuis 1978, 12 autres promotions d'astronautes ont été sélectionnées. Il est à noter, enfin, que la participation des Etats-Unis à la Station Spatiale Internationale (SSI) a amené d'autres considérations encore. La NASA enregistre habituellement aux alentours de 3500 candidatures pour chaque corps d'astronautes

Le major Robert Lawrence, de l'U.S. Air Force, fut le premier astronaute afro-américain. Il fut sélectionné pour être astronaute le 30 juin 1967. Il faisait partie des astronautes qui devaient voler sur le MOL, ce programme militaire, annulé en 1969, qui utilisait une station spatiale de petite taille et à usage unique, les équipages lançant et atterrissant sur un vaisseau Gemini avancé. 6 mois après sa sélection R. Lawrence se tua dans un crash d'un jet F-104 au cours d'un entraînement le 08/12/1967 à la Edwards Air Force Base en Californie. Il était instructeur à bord du vol et le pilote apprenait la technique de descente rapide en glissade (le major participait à la mise au point de cette manoeuvre qui allait devenir une partie critique des techniques d'atterrissage de la navette spatiale, appelée le "flare" en anglais. En même temps que les astronautes du programme Mercury, un groupe de femme fut choisi et testé par William Randolph Lovelace, celui qui avait conçu les tests du programme au début des années 1960. Ce groupe, cependant, ne fut jamais officialisé par la NASA et Lovelace conduisit ses tests dans sa clinique privée. Ce groupe fut nommé par l'une des participantes "FLAT" ("Fellow Lady Astronaut Trainees", "groupe des candidats-astronautes femmes"). 13 femmes en firent partie: Geraldyn (Jerrie) Cobb, Wally Funk, Irene Leverton, Myrtle 'K' Cagle, Janey Hart, Gene Nora Stumbough, Jerri Sloan, Rhea Hurrle, Sarah Gorelick, Bernice 'B' Trimble Steadman, Jan Dietrich, Marion Dietrich, Jean Hixson. Toutes étaient titulaires d'une licence universitaire ainsi que d'un brevet de pilote (avec plus de 2000 heures de vol). Bien que les 13 femmes aient passé les tests brillamment, ceux-ci se terminèrent brutalement car l'U.S. Navy arrêta d'autoriser l'acc`s à la Naval School of Aviation Medecine, à Pensacola, en Floride, invoquant le fait que Lovelace ne pouvait justifier d'une requête officielle de la NASA. Cependant, à la requête des FLAT, un sous-comité spécial du Comité du Congrès sur les sciences et l'astronautique fut créé en juillet 1962. Mais, en partie du fait des témoignages défavorables de députés et d'officiels de la NASA -dont Scott Carpenter ou John Glenn- rien n'aboutit. Les fonds du programme FLAT venaient de Jackie Cochran, une pionnière de l'aviation américaine mais elle finit, devant le comité, par réfuter, elle aussi, le programme. Le FLAT, ainsi, était devenu un enjeu politique, une sorte d'enquête sur la discrimination alors que, deux ans plus tard, allait être voté le "Civil Rights Act", la loi sur les droits civiques du mouvement kennedyste. Ce ne sera pas avant la "Astronaut Class" ("groupe d'astronautes") de 1978 -aussi appelé le "Thirty-Five New Guys" (les "35 nouveaux gars") du fait qu'il s'agissait du premier renouvellement des astronautes américains depuis 1969- que la NASA vit finalement des femmes faire partie d'un de ses groupes d'astronautes -dont Sally Ride qui devait devenir la première américaine dans l'espace à bord, en 1983, de la mission STS-7 de la navette spatiale. En effet, jusqu'alors (et la mesure avait décidée par le président Eisenhower lui-même en décembre 1958), la NASA demandait à tout candidat-astronaute d'avoir une expérience de pilote de jet militaire, ce qui éliminait donc toute femme. 3 des astronautes de cette classe furent également les premiers Afro-américains des programmes de la NASA et la classe comprit également les premiers Américains d'origine asiatique. Guion Bluford -plus connu sous le nom de Guy- fut le premier afro-américain à voler dans l'espace (août 1983. Depuis le début de la conquête de l'espace, 71 femmes, de tous les pays, ont volé dans l'espace, remplissant toutes les fonctions qu'on peut remplir au cours d'une mission. Après l'ère Apollo, celle de la navette spatiale nécessita des "spécialistes de mission" et la NASA s'ouvrit aux astronautes femmes. Actuellement, la NASA sélectionne les classes d'astronautes sur la base d'une égalité en nombre hommes-femmes et les femmes constituent 34% des astronautes américains. Les Afro-américains, les Asiatiques, les ressortissants des îles américaines du Pacifique, les Hispaniques et les personnes de races diverses représentent 24% de ces astronautes

Les astronautes sous le régime du programme de la navette spatiale

les six astronautes de la mission STS-72 de la navette spatialeles six astronautes de la mission STS-72 de la navette spatiale. NASA

Dans le cadre du programme de la navette spatiale, la sélection des astronautes recrutait des personnes aux compétences et aux expériences variées et visait essentiellement à recruter les membres d'équipage de la navette spatiale. Tous les deux ans, une promotion était sélectionnée. Chaque promotion comprenait à la fois des pilotes et des spécialistes de mission. Des militaires comme des civils pouvaient faire acte de candidature. Les militaires devaient le faire par le biais de la branche armée à laquelle ils appartenaient (et ils étaient affectés à la NASA par leur service). Aussi bien pour les pilotes que pour les spécialistes de mission, les exigences, en matière de formation et d'expérience étaient d'avoir au moins une licence (4 années d'études universitaires) en ingénierie, biologie, physique ou mathématiques. Les spécialistes de mission, de plus, devaient avoir, au-delà de leur diplôme, trois années d'expérience professionnelle. Un diplôme supérieur était désirable (il pouvait, dans ce cas, remplacer tout ou partie de l'expérience professionnelle). Pour ce qui est des pilotes, ils devaient avoir 1000 heures de vol sur jet et une expérience de pilote d'essai était hautement recommandée. Ils devaient mesurer entre 1,62 m et 1,93 m et avoir été admis à un examen médical spatial de la NASA de classe I, dont les exigences sont équivalentes de celles de l'examen médical de classe I civil ou militaire. Les spécialistes de mission, eux, devaient satisfaire aux exigences d'un examen médical spatial de la NASA de classe II (équivalent d'un examen médical de classe II civil ou militaire). Ils devaient mesurer entre 1,48 m et 1,93 m. Les promotions d'astronautes étaient été composées, en général, d'un-tiers de pilotes et de deux-tiers de scientifiques et d'ingénieurs. Des commissions de la NASA évaluaient les aptitudes des candidats et les finalistes passaient une série d'examens (entretiens, visites médicales complètes) pendant une semaine. Les critères sur lesquels se basaient la sélection étaient le cursus des études, la formation et l'expérience mais aussi des qualifications et des aptitudes spécifiques. Les entretiens jouaient le rôle essentiel dans la sélection. Pour ce qui était de la navette spatiale, une aptitude au travail en équipe était exigé du fait des conditions de travail à bord. La plus récente promotions d'astronautes était celle du printemps 2009 -qui suivit celle de 2004; elle devait être entraînée pendant les deux ans suivants. 3564 personnes s'étaient portées candidates, 40 candidats avaient été retenus et, finalement, 12 personnes retenues pour la formation, rejoignant ainsi le corps des astronautes américains dont le nombre total s'élèvait à 85. La NASA avait annoncé en septembre 2007 qu'elle accepterait les candidatures de pilotes, ingénieurs, scientifiques et enseignants. Plus de compétences en géologie et en géo-physique devaient faire désormais partie de la formation puisque le nouveau programme spatial américain visait le retour sur la Lune et le voyage vers Mars. La NASA, dans ces dernières années, avait choisi d'inclure dans chaque promotion d'astronautes ce qu'elle appelait des "éducateurs-astronautes" (en anglais, "educator-astronauts"). Les éducateurs-astronautes étaient habituellement des enseignants, généralement en mathématiques ou en sciences, dont la présence, au sein des équipages, devait servir à développer l'intérêt des jeunes Américains pour la science et l'espace. Le premier groupe d'éducateurs-astronautes vit le jour en 2004. Ils recevaient le même entraînement que les autres membres de la promotion. La NASA, au milieu des années 1980, avait, de manière plus informelle, déjè donné, pour une mission, un entraînement minimal d'astronaute à deux enseignants et, en 1998, un enseignant était devenu astronaute à part entière

La formation des astronautes au temps de la navette

Les candidats retenus prenaient le nom de "candidats astronautes" et étaient dirigés vers le Johnson Space Center à Houston, au Texas où ils suivaient une formation et un programme d'évaluation d'un à deux ans au terme desquels les candidats retenus devenaient "astronautes". Les candidats civils devaient rester à la NASA au moins 5 ans et les militaires étaient transférés à la NASA par leur corps d'origine. L'entraînement des candidats astronautes consistait en des cours sur les systèmes de la navette spatiale et en matière de science et de technologie de base relatives à l'espace (des mathématiques à la dynamique orbitale ou au traitement des matériaux). Ils suivaient également des entraînements de survie (sur terre et sur mer), une formation à la plongée, une initiation aux costumes spatiaux et une formation aux procédures de secours relatives à des conditions de pression basses ou hautes. Utilisant les fameux avions de la NASA qui permettent des périodes d'apesanteur, les candidats s'y initiaient. Pour ce qui est des pilotes, ils maintenaient leur niveau de pilote en pratiquant 15 heures de vol par mois à bord des jets biplaces T-38 de la NASA. Ils se formaient également à l'atterrissage de la navette en utilisant le "Shuttle Training Aircraft" l'un de ces quatre jets d'affaire Gulfstream II modifiés pour se comporter comme la navette à l'atterrissage. Les spécialistes de mission étaient également obligés de passer leur brevet de pilote et volaient un minimum de 4 heures par mois. Les candidats astronautes commençaient à se familiariser avec le système de la navette spatiale par le biais des manuels et de leçons, basées sur ordinateur, concernant les différents systèmes de la navette. Puis, chaque candidat, par le biais du "single systems trainer" (simulateur systèmes), apprenait à utiliser les différents sous-systèmes, utilisant des checklists semblables à celles de la vie réelle. Des sessions sur d'autres simulateurs suivaient: simulateurs de missions (principales phases d'un vol: pré-lancement, montée, orbite, chargement, manoeuvre, rendez-vous); simulateur à base fixe (simulation d'une mission du lancement à l'atterrissage); simulateur à base mobile (entraînement spécifique des pilotes et des commandants de bord pour les phases du lancement, de la descente et de l'atterrissage). Une fois devenus astronautes, les membres de la promotion continuaient ces entraînements sur simulateur. Ils y utilisaient des logiciels génériques jusqu'à ce qu'ils soient assignés à leur première mission, ce qui avait généralement lieu 10 mois avant le lancement. Dès lors, les astronautes s'entraînaient avec des logiciels réels dédiés. La durée de l'entraînement était d'environ 300 heures. Pendant les 11 dernières semaines, les astronautes s'entraînaient également avec les contrôleurs de vol. Le centre de contrôle de la mission et un des simulateurs de la navette étaient reliés entre eux par ordinateur. D'autres systèmes d'entraînement étaient utilisés pour certaines formations particulières, tels le "Neutral Buoyancy Laboratory" (une grande piscine qui permet la simulation des conditions d'apesanteur), le "full fuselage trainer" (maquette en contre-plaqué grandeur nature dont le mid-deck et le pont de vol n'étaient pas fonctionnels) ou la baie cargo grandeur nature. Le "crew compartment trainer" était une maquette de l'avant de la navette, sans la baie cargo. Il pouvait être placé à la verticale et il permettait l'entraînement aux procédrues d'habitabilité en orbite et aux évacuations d'urgence. Le "manipulator development facility" était une maquette grandeur nature de la baie cargo et du bras robotique. Un simulateur d'ingénierie des systèmes du "Avionics Systems Laboratory", au centre Johnson Space Center de la NASA, était utilisé par les astronautes qui partaient pour une mission à l'ISS; le simulateur comprenait des scènes animées grandeur réelle, sur fond de la Terre, de parties de l'ISS

simulateur de l'ISS du Johnson Space Center de la NASAsimulateur de l'ISS du Johnson Space Center de la NASA. NASA/JSC

Au cours de l'entraînement en vue d'une mission réelle, les pilotes recevaient un entraînement spécifique, continuant de s'entraîner à l'atterrissage de la navette. La navette approchait à un angle important de 17-20° et à vitesse importante (au-dessus de 260 noeuds). Sur leurs avions modifiés, les moteurs en poussée inverse et le train descendu accroissaient la traînée pour imiter ces approches. Les pilotes pratiquaient 100 heures de cet entraînement, ce qui équivalait à 600 approches de navette. En dehors des entraînements dont il vient d'être question, les membres d'équipage se tenaient à jour sur le statut de la navette et du chargement. Ils étudiaient aussi les règles de vol et les procédures de fichiers de données de vol. Ils participaient à des réunions techniques, des activités de test et de vérification au Kennedy Space Center, là d'où lançait la navette. Lorsque la mission avait lieu, les incidents de vol étaient, en général, beaucoup moins nombreux que ceux qui étaient étudiés au cours de l'entraînement. La plupart des astronautes ont rapporté que, par rapport aux sessions sur simulateurs, seuls le bruit et les vibrations du lancement et l'expérience réelle de l'apesanteur étaient réellement nouveaux. Lorsque les astronautes du programme de la navette ont participé aux vols en liaison avec la station spatiale russe Mir, ils eurent à apprendre le russe puis ils passèrent 13 mois au Centre d'Entraînement des Cosmonautes Youri Gagarine où ils atteignirent le degré leur permettant une initiation technique aux systèmes et aux expériences scientifiques russes. Ces astronautes reprenaient ensuite l'entraînement avec les autres membres de la navette pour la phase finale de celui-ci, 4 semaines avant le lancement. Les pilotes d'une promotion servaient à la fois de pilotes et de commandants de bord. Les commandants de bord avaient la responsabilité de la mission. Les pilotes les assistaient et c'est eux qui utilisaient le bras manipulateur qui permettait le travail éventuel sur des satellites en orbite. Les spécialistes de mission se consacraient aux systèmes de la navette ou aux expériences scientifiques et aux opérations concernant les chargements. Ils pouvaient accomplir des sorties spatiales et utiliser aussi le bras manipulateur. Une mission pouvait se voir adjoindre des "spécialistes de chargement". C'étaient des personnes, qui n'étaient pas des astronautes de la NASA, qui pouvaient être ajoutés à une mission pour des activités spécifiques ou lorsqu'un équipage au-delà du nombre minimal de 5 personnes était requis. Ces spécialistes de chargement ne participaient pas à l'entraînement des astronautes. Ils devaient posséder un curriculum universitaire et une formation adaptés à leurs tâches. Une fois la mission terminée, l'équipage consacrait plusieurs jours à des tests médicaux et des débriefings, faisant le bilan de leur expérience, lequel était utile aux astronautes et aux entraînements suivants

Le corps des astronautes américains après la navette

A la fin du programme de la navette spatiale, le dernier corps d'astronautes de la NASA avait atteint un plus bas de 60 personnes (alors qu'en 2000, un maximum de 149 avait été atteint). Le dernier recrutement effectué à partir de la fin 2011 devrait n'aboutir qu'à un corps retreint d'astronautes. La NASA leur demande d'avoir des diplômes, tels en ingénierie, sciences ou maths ainsi que 3 ans d'expérience professionnelle adéquate. Une forte expérience dans le pilotage de jets est souvent appréciée et les enseignants des écoles primaires sont aussi encouragés à postuler. Ce à quoi cette nouvelle classe serait employée, étant donné que les Etats-Unis n'ont plus, pour l'instant, de moyen crédible et immédiat d'accéder à l'orbite basse, pourrait consister en les missions à l'ISS via les Soyouz russes; puis à participer à la conception et à la construction des futurs vaisseaux de la NASA et à donner du feedback. Enfin, plus tard, une fois les véhicules nécessaires construits, en les missions futures: un astéroïde en 2025 ou les missions vers la Lune ou Mars. Certains astronautes pourraient également être mutés sur d'autres postes au sein de la NASA. Une sélection psychologique a également lieu, qui consiste de deux parties: un ensemble d'entrevues a d'abord lieu puis les candidats sont évalués fonction de leur compatibilité avec la fonction et des entrevues ont lieu avec un psychiatre pour rechercher de possible cause de disqualification. En juillet 2015, huit nouveaux astronautes, faisant partie de la classe 2013, ont rejoint le corps des astronautes de la NASA, choisis de 6300 candidats (le deuxième nombre en importance de candidatures jamais reçues par la NASA). La plus récente classe d'astronautes de la NASA a été officialisée en janvier 2020

Dès avant la fin de l'ère de la navette spatiale, les astronautes ne consacraient pas leur temps qu'aux vols et à l'entraînement: par exemple, ils servaient aussi de "Capcom" ("Capsule Communicator"), la personne chargée de communiquer par radio avec les équipages dans l'espace, ou ils pouvaient piloter un avion au moment d'un lancement pour surveiller la météo

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