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illustration réduite de l'illustration symbolisant la page L'espace (pas de lien) Dernières nouvelles de l'espace!

Les dernières nouvelles de l'espace! Missions, lancements, etc. ... voyez aussi nos tutoriels consacrés à l'espace et à l'ISS, le nouveau programme spatial américain, les missions historiques à partir de "Contenu complet de la version française"

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Système solaire, astronomie
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Le nouveau programme spatial américain

Cassini (mission à Saturne) / Les Twin Rovers / MESSENGER (mission vers Mercure) / DAWN (Vesta, Cérès) / Le rover Curiosity / Rosetta (comète 67P) / New Horizons (1ère mission à Pluton)

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les mises à jour se font tous les mois; dernière mise à jour: 08/06/2015; les missions ne commencent que vers le début des années 2000

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Prochains lancements
Missions en route
Missions opérant

->plus de détails (en anglais seulement) sur les lancements et les missions sur le site de la NASA; leur page avec liste alphabétique de toutes les missions (en anglais aussi) est également un outil utile

->NB: il existe, dans la section anglaise, à "Current Mission", pour chacune des activités spatiales, des archives (en anglais seulement) de certaines missions passées (ou qui ont échoué)

->Intéressant!
Il peut être intéressant de savoir que la NASA, par intermittence ou régulièrement, met en ligne des systèmes de submission, par le biais desquels le public en général, ou une partie seulement de celui-ci (des collégiens américains, par exemple) peuvent faire des propositions concernant le nom à donner à un vaisseau spatial ou voir leur nom inscrit, via un support quelconque, à bord d'une mission! Les autres agences spatiales organisent aussi ce genre d'activités

flèche retour Prochains lancements (par ordre chronologique)

- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires SIM : SIM (Space Interferometry Mission) est une mission de la NASA qui, par la méthode des perturbations du mouvement propre des étoiles-mères, cherchera des exo-planètes autour de 100 étoiles proches ainsi qu'autour de plusieurs milliers d'étoiles plus distantes. SIM anticipe la mission Terrestrial Planet Finder, qui est programmée pour 2014 qui, elle, aura pour but l'observation directe des exo-planètes et de rechercher celles qui sont favorables à la vie. SIM s'intéressera aussi à des objets peu visibles de la Galaxie et à la matière noire dans celle-ci. Lanchement: - cette mission, prévue pour 2009, n'est pas apparue sur les calendriers de lancement de la NASA - Lieu de lancement: -
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires LADEE (Lunar Atmosphere and Dust Environment Explorer): LADEE est la deuxième partie de la mission GRAIL. Elle visera à l'étude de l'environnement lunaire, son champ magnétique ainsi que la fine exosphère atmosphérique de la Lune. Lancement: 6 septembre 2013, à 23h 27 heure d'été de la côte est américaine, sur une Minotaur V. Lieu de lancement: Mid-Atlantic Regional Spaceport Pad 0B, de la Wallops Flight Facility, Va. NB: après un problème de roues à réaction peu de temps après le lancement, la mission a finalement atteint, après les 4 mois de voyage prévus, l'orbite lunaire, le 20 novembre 2013, commençant à travailler sur une orbite équatoriale. La mission s'est terminée en mars 2014 et a continué dans le cadre d'une phase d'extension; la mission a finalement été intentionnellement écrasée sur la surface lunaire le 17/04/2014, l'orbite s'étant naturellement abaissée après la phase finale, à basse altitude, des études scientifiques. La mission LADEE a transmis, par laser, des données de la Lune à la Terre, au taux de 622 megabits/s, un fait historique
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires MMS (Magnetospheric MultiScale): la mission MMS est une mission de la NASA. LANCÉ le 12/03/2015! Quatre satellites identiques étudieront de manière coordonnée la magnétosphère terrestre en haute résolution, permettant de comprend les effets du Soleil sur son environnement. La mission permettra ainsi de préparer les missions habitées lointaines pour lesquelles il sera important de comprendre ces conditions environnementales influencées par le Soleil. La mission s'efforcera aussi de comprendre le mécanisme de la reconnexion magnétique. Lancement: 2013. Lieu de lancement: -
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires SMEX (Gravity and Extreme Magnetism): la mission SMEX (Gravity and Extreme Magnetism) est une mission de la NASA. Par l'étude de la polarisation des rayons-X en provenance des objets les plus énergétiques de l'Univers -ainsi les étoiles à neutrons super-denses, les trous noirs stellaires et les trous noirs galactiques- la mission visera à étudier quelle est la courbure de l'espace et de la lumière dans les régions de gravité extrême. Lancement: 2015. Lieu de lancement: -
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires LaRa (Lander Radio-Science on ExoMars): la mission LaRa est une mission martienne de la NASA, conjointement avec l'ESA, composée d'un lander et d'un rover. Le rover collectera des échantillons de sol pour analyse. Les données, qui seront relayées par le Deep Space Network de la NASA, permettront d'estimer les variations de la durée du jour et de la position de l'axe de rotation, ce qui permettra de mieux comprendre comment s'organise l'intérieur de la planète, géologiquement, y compris la taille du coeur ou si l'intérieur de Mars est encore, même partiellement, fondu. Lancement: 2016. Lieu de lancement: -
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires InSight (Interior Exploration using Seismic Investigations, Geodesy and Heat Transport): InSight est une mission de la NASA de classe Discovery. Elle va étudier l'intérieur de Mars en creusant jusqu'à 5 mètres (16 pieds) en-dessous la surface avec un instrument dit "Tractor Mole" ("taupe tracteur"). Des capteurs de température enregistreront aussi combien de chaleur provient de l'intérieur de la planète, permettant de comprendre l'histoire thermique de celle-ci. La mission est prévue, au départ, pour durer une année martienne. Cette mission permettra également de réfléchir sur les processus des débuts de la formation planétaire. 4 sites d'amarssissage ont été sélectionnés en août 2013 sur 22 sites-candidats; un seul site sera retenu. Les 4 sites se trouvent à proximité les uns des autres dans une plaine équatoriale d'Elysium Planitia. La technologie utilisée par InSight se fonde sur le lander polaire de la NASA, Phoenix. Lockheed Martin Space Systems, de Denver, construire le lander. Lancement: 2016. Lieu de lancement: -
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires LCRD (Laser Communications Relay Demonstration): la mission LCRD est une mission de la NASA qui testera un nouveau système de transmission optique de données par laser lequel pourrait accroître le taux de transfert de données de 10 à 100 fois ainsi qu'une augmentation importante des données transmises tant en provenance qu'à destination des missions, particulièrement pour les missions opérant dans le système solaire voire au-delà. Le LCRD emportera des télescopes, lasers, miroirs, détecteurs, un système de pointage et de suivi, de l'électronique de contrôle et deux modems (l'un pour la communication avec les missions lointaines ainsi qu'avec les petits satellites qui opèrent en orbite terrestre, l'autre pouvant transmettre des volumes de données plus important, particulièrement pour les satellites en orbite terrestre dont l'ISS. Cette mission doit durer deux à trois ans. Lancement: 2016. Lieu de lancement: -
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires OSIRIS-REx (Origins-Spectral Interpretation-Resource Identification-Security-Regolith Explorer): OSIRIS-REx est une mission de la NASA qui vise un astéroïde géo-croiseur, l'astéroïde 1999 RQ36 (renommé Bennu, d'après un dieu égyptien important, à forme de héron gris, en 2013 suite à un concours NASA) en 2020. Elle y prélèvera des échantillons de sol en vol rasant après avoir orbité pendant 6 mois à 4,8km de la surface. Ces échantillons seront largués au-dessus de la Terre (pour un atterrissage au Utah's Test and Training Range) dans une capsule semblable à celle qu'avait utilisée la mission Stardust en 2006. La mission aura un double but: les astéroïdes sont considérés comme des conservatoires des matériaux du système solaire originel et portent du carbone, l'un des composants-clés des molécules organiques nécessaires à la vie; d'autre part 1999 RQ36 est un NEO et la mission acquérera des données utiles, telles mesurer l'effet Yarkosvky pour la première fois ou concevoir des stratégies pour protéger la Terre des NEO. La mission, enfin, pourra servir à lointainement préparer les futures missions habitées vers un astéroïde et d'autres destinations lointaines. Ce sera le Goddard Space Flight Center qui aura la gestion de la mission et Lockheed Martin Space Systems construira le vaisseau. Lancement: 2016. Lieu de lancement: encore inconnu
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires LOLA: la mission LOLA (Lunar Orbiter Laser Altimeter), de la NASA, utilisera un laser ultra-précis pour créer une carte tri-dimensionnelle de la Lune en prévision du retour américain de l'homme sur la Lune. La mission sera en orbite polaire. Lancement: NB: la mission n'est plus sur le calendrier de la NASA. Lieu du lancement: -
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires ICON (Ionospheric Connection Explorer): la mission ICON est une mission de la NASA qui étudiera l'ionosphère de la Terre et ce qui cause des variations telle qu'une bande rouge visible là qui, comme d'autres émissions, est le signe de perturbations qui peuvent interférer avec les télé-communications. Lancement: juin 2017. Lieu de lancement: la mission sera lancée en juin 2017 au Reagan Test Site de l'atoll de Kwjalein via une fusée Pegasus XL qui sera larguée du L-1011 "Stargazer" de la société Orbital Sciences Corporation. Le Launch Services Program de la NASA, au Kennedy Space Center sera responsable des services de lancement de la Pegasus et de leur surveillance
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires TESS (Transiting Exoplanet Survey Satellite): la mission TESS est une mission de la NASA qui cherchera des exoplanètes sur tout le ciel, la première mission parcourant le ciel entier. La durée de la mission est de 3 ans. La mission est en cours de développement et sa Critical Design Review aura lieu en 2015. Lancement: août 2017, par une fusée Falcon 9. Lieu de lancement: la mission sera lancée depuis la Cape Canaveral Air Force Station du Kennedy Space Center
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires Solar orbiter: la mission Solar Orbiter est une mission de l'ESA qui étudiera les flux solaires. Elle comportera une forte contribution de la NASA (sous la direction du Goddard Space Flight Center). Plusieurs passages assistés par gravité à Vénus permettront au vaisseau d'incliner son orbite de sorte qu'il puisse voir les pôles du soleil; l'orbite, de plus, aux alentours de la distance de Mercure, sera proche du Soleil et permettra de voir les évènements énergétiques solaires en détail. Lancement: 2017 par une fusée de la NASA. Lieu de lancement: Cape Canaveral
- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires James Webb Space Telescope (JWST): le James Webb Space Telescope est une mission conjointe NASA-ESA-Canadian Space Agency. Le James Webb Telescope représente le premier élément de la nouvelle génération d'instruments d'observation au service des astronomes, qui permettront d'aller encore plus loin dans l'étude de l'"âge sombre" de l'Univers, ces moments qui suivent la formation définitive des éléments fondamentaux de celui-ci. De deux fois la taille de Hubble, le James Webb travaillera du rouge lointain au moyen infra-rouge. Le James Webb précédera la Terre de 1,5 million de km (930000 miles). Le miroir du James webb sera composé de 18 petits miroirs et des micro-obturateurs lui permettront de distinguer la lumière des objets des débuts de l'Univers de celle des objets plus proches. Lancement: 2018 à bord d'une Ariane 5 ECA. Le James Webb Space Telescope a une durée de mission de 10 ans ou plus

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MRO au décollage sur une Atlas V, 12 août 2005MRO au décollage sur une Atlas V, 12 août 2005. NASA/KSC

- illustration-symbole (petit format) pour les missions planétaires JUNO: lancée le 05/08/2011 depuis la CCAFS du Kennedy Space Center par une United Launch Alliance Atlas V-551, JUNO est une mission de la NASA à Jupiter qu'elle atteindra en 2016. Elle étudiera la géante gazeuse depuis une orbite polaire et procèdera à une étude exhaustive de la planète même (coeur, composants de l'atmosphère, vents, magnétosphère, etc.). Une telle étude en profondeur permettra une meilleure compréhension de comment le système solaire s'est formé. Jupiter sera étudié par une caméra et une batterie de 9 instruments scientifiques. Juno est une mission mue par l'énergie solaire. Elle exécutera 33 orbites, hautement elliptiques et polaires, passant jusqu'à 4800 km (3000 miles) au-dessus de la dernière couche de nuages. Les panneaux solaires de la mission ont été améliorés de façon à être plus efficaces aussi loin du Soleil. La mission durera 1 an. Le nom de la mission a été choisi par référence à Junon, l'épouse de Jupiter qui fut capable de voir Jupiter à travers les nuages dont il s'entourait pour cacher ses méfaits. La sonde, en un jour, devait atteindre la Lune et il lui faudra 5 ans pour parcourir les 2,8 milliards de km (1,74 milliards de miles) qui la mèneront à Jupiter. Juno a exécuté avec succès sa première correction de trajectoire début février 2012; 12 sont prévues sur les 5 ans à venir. Le 30 août et le 14 september 2012, Juno a exécuté deux manoeuvres (dites DSM-1 et 2) préparant son passage assisté par gravité à la Terre le 9 octobre 2013 (la mission, alors, à 40,2 km/s (144 810 km/h) deviendra la sonde la plus rapide de l'âge spatial)

flèche retour Missions opérant (cette archive n'existe pas en français; l'archive en langue anglaise se trouve à missop.htm; on notera cependant que certaines missions opérant ont une page spéciale en français comme indiqué juste ci-après -l'ordre est alphabétique)

Curiosity, DAWN, EPOXI (anciennement Deep Impact), LRO (Lunar Reconnaissance Orbiter) et LCROSS, Mars Reconnaissance Orbiter (MRO), New Horizons, Stardust-NExT

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les mises à jour se font tous les mois; dernière mise à jour: 08/06/2015; les missions ne commencent que vers le début des années 2000

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Prochains lancementsMissions opérant

->plus de détails (en anglais seulement) sur les lancements et les missions sur le site de la NASA; leur page avec liste alphabétique de toutes les missions (en anglais aussi) est également un outil utile

->NB: il existe, dans la section anglaise, à "Current Mission", pour chacune des activités spatiales, des archives (en anglais seulement) de certaines missions passées (ou qui ont échoué)

->Intéressant!
Il peut être intéressant de savoir que la NASA, par intermittence ou régulièrement, met en ligne des systèmes de submission, par le biais desquels le public en général, ou une partie seulement de celui-ci (des collégiens américains, par exemple) peuvent faire des propositions concernant le nom à donner à un vaisseau spatial ou voir leur nom inscrit, via un support quelconque, à bord d'une mission! Les autres agences spatiales organisent aussi ce genre d'activités

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Le JPSS-1 (Joint Polar Satellite System-1), une nouvelle génération de satellites NOAA (l'agence météorologique américaine) en orbite polaire et le Jason-3, une mission d'altimétrie océanique, devaient être lancé en 2014

- illustration-symbole (petit format) pour les missions des sciences de la Terre Geostationary Operational Environmental Satellites-R (GOES-R): le GOES-R est un satellite météo avec une technologie avancée concernant le satellite lui-même et ses instruments qui apporteront des prévisions plus régulières et plus précises. Lancement: octobre 2015, sur une Atlas V 541. Lieu de lancement: pas de tir 41 à la Cape Canaveral Air Force Station, Kennedy Space Center. Le lancement est de la responsabilité de United Launch Services (LLC) d'Englewood, dans le Colorado
- illustration-symbole (petit format) pour les missions des sciences de la Terre ICESat-2 (Ice, Cloud, and land Elevation Satellite-2): la mission ICESat-2 est une mission des sciences de la Terre et la deuxième génération des missions ICESat. ICESat-2 utilisera des mesures laser de précision pour mesurer la topographie des calottes glaciaires du Groëland et de l'Antarctique ainsi que l'épaisseur de la glace de mer de l'Arctique et de l'Antarctique. Orbital Science Corporation est responsable de la conception et de la fabrication de la structure du vaisseau ICESat-2, de l'intégration des instruments qui vont être fournis par les Etats-Unis, des tests, des vérifications en orbite et du soutien au long de la mission. Les travaux auront lieu aux installations du constructeur dans le cadre du contrat Goddard Space Flight Center "Rapid III multiple awards Indefinite Delivery Indefinite Quantity" dont le but principal est de fournir des systèmes satellitaires de base pouvant être modifiés pour des missions spécifiques fonction des demandes gouvernementales américaines en matière de sciences spatiales, sciences de la Terre et de technologie. ICESat-2 relèvera du centre Goddard Space Flight Center de la NASA. Lancement: 2016
- illustration-symbole (petit format) pour les missions des sciences de la Terre Geostationary Operational Environmental Satellites-S (GOES-S): le GOES-S est un satellite météo avec une technologie avancée concernant le satellite lui-même et ses instruments qui apporteront des prévisions plus régulières et plus précises. Lancement: février 2017, sur une Atlas V 541. Lieu de lancement: pas de tir 41 à la Cape Canaveral Air Force Station, Kennedy Space Center. Le lancement est de la responsabilité de United Launch Services (LLC) d'Englewood, dans le Colorado

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manoeuvres d'un Soyouz à l'ISS, juillet 2005manoeuvres d'un Soyouz à l'ISS, juillet 2005. NASA

La Station Spatiale Internationale ("International Space Station", "ISS") est un projet de 15 nations et agence spatiale en partenariat (NASA, l'Agence fédérale spatiale russe, l'Agence Spatiale canadienne, l'Agence Spatiale japonaise (JAXA) et 11 membres de l'Agence Spatiale Européenne (ESA) -l'Allemagne, la Belgique, le Danemark, l'Espagne, la France, l'Italie, la Norvège, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse). Elle doit comporter, au total, 6 laboratoires. L'ISS est progressivement assemblée, depuis novembre 1998. 40 vols au total sont programmés pour mener l'ensemble à bien. Les équipages de l'ISS sont dénommés "Expédition xx". Le premier équipage a gagné la Station en novembre 2000. Un temps interrompu du fait de la perte de la navette Columbia en février 2003, la construction de l'ISS a repris, en septembre 2006, avec la mission STS-115 de la navette spatiale. La Station Spatiale Internationale sert maintenant essentiellement de base spatiale où sont testés les effets des vols spatiaux de longue durée, dans la perspective des vols vers Mars que la NASA, après le retour sur la Lune, s'est fixée comme objectif. Les rotations des équipages sur l'ISS sont assurées soit par des navettes spatiales, soit par des vaisseaux russes Soyouz. Si, en date de fin 2008, l'ISS avait parcouru en ligne droite la distance qu'elle a parcourue depuis le début de sa construction, elle serait actuellement au-delà de l'orbite de Pluton. La coopération internationale et la collaboration équipages humaines-robotique qui permettent la construction de l'ISS deviendra sans doute l'une des caractéristiques de l'exploration du système solaire. NB: une page très complète est consacrée à l'ISS, qui comporte aussi une page retraçant les différentes étapes de la construction de l'ISS

illustration-symbole (petit format) pour les missions de l'ISS Mission en cours

Depuis mai 2012, le système de rotation des équipages à l'ISS s'est stabilisé. Chaque moitié de l'équipage d'une Expedition donnée se recoupe toujours avec la moitié de l'Expedition qui suit -ou qui précède, une procédure dite, en anglais "indirect handover" ("passage de commandement indirect"). Fonction de la rotation, le nombre des membres d'équipage peut varier de 6 à 9. Le temps qu'un équipage au complet passe à bord varie aussi en termes de nombre de mois. Le vol jusqu'à l'ISS peut prendre deux jours ou se réduire pour un rendez-vous qui suit le lancement de peu

- les plus récentes nouvelles de l'activité à l'ISS sont disponibles ci-dessous; une page (en anglais seulement) donne les archives des anciennes missions de l'ISS (depuis Expédition 6). voir à partir de Past Missions sur la page ISS de la partie anglaise

Une vue de l'ISS (date indéterminée)Une vue de l'ISS (date indéterminée). site 'Amateur Astronomy'

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.Lé "Leonardo Permanent Multipurpose Module" (PMM)a été déplacé avec succès du module Harmony au module Tranquility le 27/05/2015, ce qui permettra une reconfiguration de l'ISS pour permettre de nouvelles possibilités d'arrimage en ce qui concerne les nouveaux vaisseaux commerciaux américains (4 pourront alors être accueillis)
.Le vaisseau-cargo Dragon de la société SpaceX est revenu sur Terre le 21/05/2015 en retombant dans l'océan Pacifique
.Une élévation de l'altitude de l'ISS via le vaisseau-cargo russe Progress 58 a eu lieu le 18/05/2015. La mise à feu de 32 mn a lieu malgré un problème avec l'un des 8 thrusters du vaisseau, qui a été détecté par les contrôleurs russes
.Le vaisseau-ravitailleur russe Progress 59, qui devait ravitailler l'ISS, après un lancement de Baïkonour le 28 avril 2015, a été perdu par le contrôle russe au cours de sa montée vers la station spatiale. Il a fini, aux alentours d'une semaine plus tard par se désintégrer, de façon totalement incontrôlée, au-dessus de l'océan Pacifique central... Les ingénieurs de vol russes, ceux de Houston et de l'ESA ont travaillé sur le problème et le U.S. Air Force Joint Functional Component Command pour le Space’s Joint Space Operations Center a également surveillé le vaisseau
.Le vaisseau-ravitailleur russe Progress 57, qui était arrivé à l'ISS en octobre 2014 a été désarrimé le 25/04/2015 pour laisser la place à un nouveau vaisseau-ravitailleur russe
.L'Expedition 43 a reçun un vaisseau-ravitalleur SpaceX Dragon le 17/04/2015
.Une mission d'une année a commencé à l'ISS le 27/03/2015 avec le lancement depuis Baïkonour du Soyouz TMA-16M qui emportait les trois membres supplémentaries de l'Expedition 43. En faisaient partie l'astronaute de la NASA Scott Kelly et le cosmonaute Mikhail Kornienko qui vont passer 12 mois à l'ISS et y mener des recherches importante sur la résistance de l'homme au cours de voyages spatiaux de longue durée
.3 membres de l'Expedition 42 ont quitté l'ISS et ont atterri au Kazakstan le 11/03/2015. Le désarrimage a marqué le début officiel de l'Expedition 43
.3 sorties dans l'espace ont été réalisées par les astronautes de l'Expedition 42 en février et début mars 2015 pour préparer l'ISS pour l'arrivée future de vaisseaux commerciaux habités américains; de nouveaux systèmes de communication pour les rendez-vous ont été installés
.Le lancement et l'arrimage d'un vaisseau-cargo russe Progress devait avoir lieu le 17/02/2015
.Le 5ème et dernier vaisseau-cargo ATV de l'agence spatiale européenne ESA (ATV-5) a quitté la station le 14/02/2015; il devait rester 13 jours dans l'espace avant de quitter l'orbite
.Le vaisseau-cargo Dragon de la société a amerri dans le Pacifique le 10/02/2015
.L'observatoire CATS ("Cloud Aerosol Transport System") a été installé à l'ISS en janvier 2015 via l'utilisation de deux bras robotiques. Le CATS étudiera l'interaction aérosols-nuages pour améliorer les modèles du changement climatique
.Une fuite supposée d'ammoniaque, à la mi-janvier 2015, a forcé les membres d'équipage de l'Expedition 42 à se réfugier dans le segment russe; les contrôleurs de vol analysent les données pour comprendre ce qui a déclenché l'alarme
.Un vaisseau-cargo Dragon, de la société SpaceX, lancé du Space Launch Complex 40 de la Cape Canaveral Air Force Station, au Kennedy Space Center, en Floride sur une fusée Falcon 9 début janvier 2015 a atteint l'ISS le 12. La société SpaceX a effectué un test d'atterrissage du premier étage de sa fusée sur une plate-forme flottante dans l'océan Atlantique, lequel n'a été que presque réussi
.3 membres d'équipage -dont la 1ère astronaute-femme italienne ont rejoint l'ISS le 24/11/2014 à bord d'un Soyouz TMA-15M après un voyage de 6 heures depuis Baïkonour, au Kazakstan; ils rendent complète la composition de l'équipage de l'Expedition 42
.3 membres d'équipage de l'ISS sont revenus sur Terre le 09/11/2014 après une mission de 165 jours, mettant fin à l'Expédition 41 et atterrissant au nord-est de la ville isolée d'Arkalyk, au Kazakstan, à bord d'un Soyouz TMA-13M
.Un débris spatial a menacé l'ISS fin octobre-début novembre et la station spatiale a pu l'éviter. C'était la première fois que l'ISS évitait un débris spatial avec autant d'urgence; celui-ci était un morceau d'un Cosmos-2251 russe provenant d'une collision avec un autre satellite en 2009
.Un vaisseau-cargo Progress devait se désarrimer de l'ISS le 27/10/2014 et un nouveau Progress devait être lancé de Baïkonour, au Kazakstan, le 29
Le 3ème vaisseau-cargo Cygnus de la société Orbital Sciences Corp. a explosé au décollage le 28/10/2014 depuis le pas de tir 0A du Mid-Atlantic Regional Spaceport à la Wallops Flight Facility de la NASA, en Virginie
.Le 4ème vaisseau-cargo de la société Space X est revenu sur Terre le 25/10/2014, ammerissant dans l'océan Pacifique, 450km à l'Ouest de la Basse-Californie
.Le 4ème vaisseau-cargo Dragon de la société SpaceX a rejoint la Terre le 25/10/2014, amerrissant dans l'océan Pacifique, 480 km à l'Ouest de la Basse-Californie
.La 3ème sortie dans l'espace de l'Expedition 41 a eu lieu le 22/10/2014 et a duré 3 heures et 38 minutes. Les astronautes ont retiré des expériences de l'extérieur de l'ISS et accompli d'autres tâches de maintenance, telle une surveillance photographique détaillée de la surface externe des modules russes
.La 2ème sortie dans l'espace de l'Expedition 41 a eu lieu le 15/10/2014 et a duré 6 heures et 35 minutes, remplaçant un régulateur d'énergie et transférant à une nouvelle position des éléments qui permettront de reconfigurer l'ISS aux fins d'accueillir les futures vaisseaux habités commerciaux
.La première de 3 sorties dans l'espace qui doivent être réalisées par l'Expedition 41 a eu lieu le 07/10/2014 et elle a duré 6 heures et 13 minutes; elle a repositionné une pompe défaillante de refroidissement des stockages externes et a installé un système permettant une énergie de secours pour un équipement robotique extérieur. Un ingénieur de vol a opéré le bras robotique canadien qui a manoeuvré l'un des deux astronautes et il a été le coordinateur de la sortie dans l'espace
.L'équipage Expedition 41 a été complété le 25/09/2014 avec l'arrivée de trois membres à bord du Soyouz TMA-14M, lequel avait été lancé de Baïkonour, au Kazakstan. Le voyage s'est bien déroulé malgré que le panneau solaire gauche ne se soit pas déployé
.Le 4ème vaisseau-cargo Dragon, de la société SpaceX a atteint l'ISS le 23/09/2014 après un voyage de 2 jours. Le vaisseau a été agrippé, depuis la station de travail robotique Cupola, par le bras Canadarm2
.3 membres de l'Expedition 39/40 sont revenus sur Terre dans les steppes du Kazakstan le 10/09/2014, mettant officiellement fin à l'Expedition 40. Le commandement de l'ISS a été transmis au cours de la traditionnelle cérémonie de changement de commandement

(NB: l'Expedition 20, en mai 2009, marque le début d'équipages de 6 astronautes. Chaque "Expédition", désormais, se termine avec le désarrimage d'un Soyouz. Tout membre d'équipage reste aux alentours de 6 mois en moyenne à l'ISS et fait ainsi partie de deux Expedition (chaque Expedition recoupant la suivante pendant 4 jours), dans la perspective d'une meilleure cohésion des équipages). Prochaines Expéditions (dernière mise à jour: 12/04/2013): du fait d'une grande variabilité des calendriers de la NASA pour les vols à l'ISS en ce moment, nous lions, pour ces calendriers, à un fichier texte qui reprend ceux-ci (attention, fichier en anglais avec aides à la traduction)

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conception artistique d'une Ares I sur le pas de tirune Ares I sur le pas de tir (conception artistique). NASA

Le Président américain George Bush, en 2004, avait décidé de renouveler le programme spatial américain. Ce plan prévoyait entre autre le "programme Constellation", un système de lanceurs et une capsule qui devaient permettre l'accès à l'orbite terrestre puis le retour sur la Lune voire le voyage vers Mars. En 2008, la nouvelle administration américaine, celle du président Obama, a radicalement modifié le plan Bush, misant désormais sur des programmes qui continueront d'être pris en charge par la NASA et d'autres qui relèront de quatre compagnies privées. Malgré ce peu de clarté, après la mise à la retraite des navettes spatiales, les travaux, la construction et les vols continuent, essentiellement le fait des compagnies privées, lesquelles testent et améliorent leurs fusées de lancement et leurs capsules; celles-ci devraient permettre l'accès à l'ISS ainsi qu'à l'orbite basse. pour plus de détails sur le nouveau programme spatial américain, voyez notre tutoriel "Le nouveau programme spatial américain". (dernière mise à jour: 24/11/2014)

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Prochaines missions
Anciennes Missions
Divers tests, construction, etc.

arrow back illustration réduite de l'illustration-symbole pour les missions du nouveau programme spatial américain Prochaines Missions

(par ordre de lancement tel que prévu; NB: une fois les compagnies privées ravitaillant l'ISS passant à la phase régulière de leurs vols, ces vols sont référencés dans les vols ISS)

- aucun vol dans la section -

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(by reverted chronological order)

illustration réduite de l'illustration-symbole pour les missions du nouveau programme spatial américain Exploration Flight Test-1 de la capsule Orion

la capsule Orion dans l'océan Pacifique après la réussite de son vol-test (05/12/2014)la capsule Orion dans l'océan Pacifique après la réussite de son vol-test (05/12/2014). picture NASA

Le premier tir prévu, le 4 décembre 2014, du Exploration Flight Test-1 de la capsule Orion (vol inhabité), depuis le pas de tir 37 de la Cape Canaveral Air Force Station, au Kennedy Space Center, en Floride a connu divers délais dont certains relevant de la météorologie ou de problèmes techniques concernant des valves du circuit d'hydrogène liquide. On en était finalement arrivé à une heure de lanceemnt de 9h 44 heure d'hiver de la côte est américaine (au lieu de 7h 05), ce qui représentait la fin de la fenêtre de lancement mais la NASA a finalement pris la décision d'arrêter le lancement. Le second essai a été le bon: prévu pour 7h 05 le 5 décembre, le lancement a eu lieu à cette heure. La capsule a atteint l'orbite au sommet de la fusée Delta IV Heavy de deux étages (elle est restée attachée au deuxième étage jusqu'à sa rentrée dans l'atmosphère). Après une orbite en orbite terrestre basse, une mise à feu du second étage a propulsé l'ensemble deuxième étage-capsule jusqu'à une altitude de 5800km (3604 miles), dans les ceintures de Van Allen, maximum d'altitude qui a été attteint à 3 heures et 6 minutes après le lancement (il s'agit du point le plus éloigné atteint par un vaisseau habité depuis 40 ans). La gravité a ensuite agi et la capsule Orion s'est séparée du deuxième étage de la Delta IV est est rentrée dans l'atmosphère (vitesse: 32000km/h -20000 miles/h; température: 2200°C (4000°F)), les communications ayant été coupées ("blackout") pendant 2 minutes et demi. Orion a ensuite amerri dans l'Océan Pacifique, à 1000km au large des côtes de la Basse-Californie mexicaine. à une vitesse de 32 km/h, suspendue à trois parachutes. Deux navires de l'U.S. Navy, le USS Anchorage et le USNS Salvor, partis de San Diego, en Californie, ont rapporté la capsule à terre, celle-ci ayant été installée sur le premier. Une nouvelle horloge de compte à rebours pour le public avait, pour l'occasion, été installée au Kennedy Space Center en remplacement de l'ancienne. La capsule Orion est du ressort de la compagnie Lockheed Martin et ce vol a permis de tester les divers systèmes de la capsule ainsi que les systèmes de récupération ou de contrôle au sol. La prochaine étape, maintenant, devrait être une mission de 25 jours, en 2017, qui enverra l'Orion à plus de 64000km au-delà de la Lune, dans une orbite rétrograde, là où un astéroïde pourrait être relocalisé en 2021 (cette misson permettra à la NASA d'évaluer les performances du système SLS dans son ensemble ainsi que les systèmes de support d'un vol habité avant que l'Orion n'emporte vraiment des astronautes

illustration réduite de l'illustration-symbole pour les missions du nouveau programme spatial américain Orbital 1 Commercial Resupply Services Flight

La société Orbital Sciences Corporation a réussi son premier vol commercial à l'ISS. Le lancement a eu lieu le 9 janvier 2014 après un délai dû à une tempête solaire qui aurait pu interférer avec les ordinateurs de la mission. Le lancement de la capsule Cygnus a eu lieu sur une fusée Antarès de la compagnie depuis le pas de tir 0A du Mid-Atlantic Regional Spaceport sur la Wallops Flight Facility, en Virginie. Le vaisseau a atteint la station après 2 jours et demi; il y a été capturé et installé sur le node Harmony. Le vol apportait 1390 kg de cargaison; il restera amarré jusqu'en mi-février et sera désarrimé pour brûler lors de sa rentrée dans l'atmosphère au-dessus de l'océan Pacifique

illustration réduite de l'illustration-symbole pour les missions du nouveau programme spatial américain Vol-test du lanceur Falcon 9 amélioré de la société SpaceX

La société SpaceX a lancé avec succès une fusée Falcon 9 améliorée depuis le Space Launch Complex 4 du centre de lancement américain de Vandenberg, en Californie, emportant un satellite canadien et trois satellites de petite taille. La fusée a été conçue pour le lancement de la capsule Dragon, qui emportera un équipage. La nouvelle Falcon est équipée d'un premier étage ré-allumable (ce qui fait partie d'un test de ré-utilisation des fusées SpaceX) et de neufs moteurs Merlin 1D, arrangés en cercle

illustration réduite de l'illustration-symbole pour les missions du nouveau programme spatial américain Vol-Test à l'ISS de la capsule Cygnus de la société Orbital Sciences Corporation

La société Orbital Sciences Corporation a lancé, le 18 septembre 2013, avec succès, sa capsule Cygnus sur une fusée Antares à destination de l'ISS. Le lancement a eu lieu du pas 01 du Mid-Atlantic Regional Spaceport de la Wallops Flight Facility, en Virginie. L'arrivée à la station a pris du retard du fait de données non précises de navigation et que la capsule a dû ensuite attendre qu'un Soyouz russe transporte un équipage. Le Cygnus a finalement été arrimé au noeud Harmony de la Station Spatiale Internationale une semaine après la date prévue (un patch logiciel avait été envoyé au vaisseau et celui-ci a exécuté sans problèmes des manoeuvres-test d'approche). Le Cygnus a ensuite quitté l'ISS le 22 octobre 2013 apr`s avoir été désarrimé par le bras robotique de la station et un séjour de 3 semaines. A la différence de la capsule Dragon, de la société SpaceX, qui peut revenir sur Terre, la Cygnus brûle à sa ré-entrée. Il peut emporter 2 tonnes de cargaison à l'ISS

illustration réduite de l'illustration-symbole pour les missions du nouveau programme spatial américain Vol-test de la fusée de lancement Antares (Orbital Sciences Corporation)

la fusée de lancement Antares (Orbital Sciences Corporation) décolle pour un vol-test réussi le 21 avril 2013la fusée de lancement Antares (Orbital Sciences Corporation) décolle pour un vol-test réussi le 21 avril 2013. NASA/Bill Ingalls

La compagnie Orbital Sciences Corporation a lancé avec succès sa fusée de lancement Antares le 21 avril 2013 depuis le Mid-Atlantic Regional Spaceport, pas de tir 0A sur la Wallops Flight Facility de la NASA, en Virginie. La fusée avait été installée au pas de tir le 6. Cette fusée, d'abord nommée Taurus II avait été rebaptisée Antares. Ce premier vol se déroule sous l'accord Commercial Orbital Transportation Services" de la NASA

illustration réduite de l'illustration-symbole pour les missions du nouveau programme spatial américain Vol SpaceX-2 Commercial Resupply Services

L'ISS a accueilli le second vol cargo privé le 2 mars 2013 avec l'arrivée du Dragon de la compagnie SpaceX qui apportait à l'Expedition 34 une cargaison diverse, des pièces détachées, ravitaillement, etc. La capsule Dragon devait rester amarrée trois semaines à l'ISS puis devait revenir sur Terre via l'océan Pacifique. Le Dragon avait été lancé le jour précédent sur une fusée Falcon 9 depuis le Kennedy Space Center. Le rendez-vous avec la station a été retardé du fait d'une perte temporaire de trois des quatres ensembles de thrusters une fois le Dragon séparé de la fusée. La capsule Dragon a allumé ses moteur le 26 mars 2013, ce qui l'a fait redescendre dans l'atmosphère terrestre, direction l'océan Pacifique où il a amerri. Une équipe SpaceX (ingénieurs, techniciens, etc.) devait le récupérer au large des côtes de Basse-Californie et, en 30 heures, le rapporter à la côte. L'équipage de l'Expedition 35 a commandé le départ de l'ISS alors que les contrôleurs au sol avaient auparavant envoyé des commandes au bras Canadarm2 pour libérer la capsule du node Harmony. Le Dragon devait redescendre de l'ISS le 25 mais le départ a été retardé pour cause de mauvaise météo en cours de développement près du lieu prévu de l'amerrissage

illustration réduite de l'illustration-symbole pour les missions du nouveau programme spatial américain Vol SpaceX-1 Commercial Resupply Services

la mission CRS-1 de la compagnie SpaceX CRS-1 s'élance du Kennedy Space Center le 7 octobre 2012la mission CRS-1 de la compagnie SpaceX CRS-1 s'élance du Kennedy Space Center le 7 octobre 2012. NASA

La mission "Commercial Resupply Services", ou CRS-1, a commencé sans problèmes le 7 octobre 2012. Elle a été lancée par une Falcon 9 du pas de tir 40 de la Cape Canaveral Air Force Station du Kennedy Space Center. Il s'agit de la première de 12 vols cargo à destination de l'ISS. La capsule a été arrimée à la station par un bras robotique le 10. Elle doit y rester trois semaines. Le contrôle de mission de la compagnie SpaceX se trouve à Hawthorne et la NASA a suivi le rendez-vous orbital depuis le contrôle de mission de l'ISS au Johnson Space Center de Houston. La capsule Dragon de la compagnie SpaceX a regagné sans encombres le Terre le 10 octobre 2012, atterrissant en parachute dans l'océan Pacifique; elle a ainsi terminé le premier vol commercial selon le contrat de la compagnie avec la NASA. SpaceX a guidé le vaisseau sans problèmes de l'orbit à l'atterrissage, qui a eu lieu 400km au large des côtes de Basse-Californie. Ont été rapportés sur Terre près d'1 t d'expériences scientifiques et d'équipement usagé

illustration-symbole (très petit format) pour les missions du programme Constellation Mission SpaceX Falcon 9/Dragon à l'ISS

vue du vaisseau-cargo commercial Dragon arrimé par le bras Canadarm2 de l'ISS. Ce vol, en mai 2012, représente le premier vol commercial jamais réalisé à la Station Spatialevue du vaisseau-cargo commercial Dragon arrimé par le bras Canadarm2 de l'ISS. Ce vol, en mai 2012, représente le premier vol commercial jamais réalisé à la Station Spatiale. NASA

Le vaisseau Dragon a effectué avec succès son premier vol -et le premier vol cargo commercial jamais réalisé à l'ISS! La capsule Dragon, de plus, est une capsule ré-utilisable. Le Dragon a décollé le 22 mai 2012 de la Cape Canaveral Air Force Station, au Kennedy Space Center, pas de tir 40, à bord d'une fusée SpaceX Falcon 9. Le vaisseau-cargo apportait 507 tonnes de ravitaillement à la station. Via le bras robotique Canadarm2 de l'ISS, l'équipage d'Expedition 31 a arrimé le vaisseau le 25 mai et l'a placé au côté faisant face à la Terre du module Harmony. Le vaisseau-cargo, de plus, y a été sécurié. Suivant une série de tests-système et un passage réussi en-dessous l'ISS le jour précédent, le Dragon a été autorisé par la NASA à l'approche le vendredi. Le Dragon a alors accompli une série de manoeuvres tests compliquées, manoeuvres qui étaient requises pour faire la preuve qu'il pouvait manoeuvrer voire interrompre une approche puis il a gagné la "boîte d'arrimage" de 20m (65ft) dans laquelle le bras robotique l'a saisi. La mission a également été un succès dans le sens qu'elle s'est désarrrimée de l'ISS le 31 mai, comme prévu: le Dragon a d'abord été amené à un point de désarrimage, à 10m (33 ft) de la station spatiale et il a quitté l'orbite 4 heures plus tard. Il est ensuite ré-entré dans l'atmosphère pendant 30 minutes et il a amerri dans l'océan Pacifique, 400km au sud-ouest de la Californie du Sud où des bateaux l'ont récupéré (après que des avions de reconnaissance maritime P-3 Orion aient repéré la zone de l'amerrissage). La capsule a ensuite été transportée au port de Los Angeles puis, de là, aux installations SpaceX McGregor, dans le Texas, à 160km (100 miles) au Sud de Dallas. Le Dragon a rapporté 700 tonnes de vieux matériel depuis l'ISS. Le Dragon mesure 5,8m (19ft) par 3,6m (12ft) et il est le seul vaisseau-cargo ré-utilisable (les autres vaisseaux commerciaux brûleront lors de leur ré-entrée). Des vols cargo réguliers à l'ISS pourraient commencer dès l'automne 2012Un premier essai de lancement avait eu lieu le 19 mai 2012 mais avait été interrompu. La NASA avait donné son feu vert à un vol au cours duquel la capsule cargo Dragon devait atteindre la Station Spatiale Internationale et s'y amarrer, une première dans le monde des compagnies spatiales privées. SpaceX facturera au moins 1,6 milliards de dollars à la NASA pour 12 vols cargo (sur 4 ans), soit 133 millions de dollars par vol (à comparer au 1 milliard/vol que coûtait la navette spatiale). A la fin de ces vols, la compagnie recevra, de plus, 396 millions de dollars de la NASA. Le Freedom Star et son sister-ship, le Liberty Star, deux navires qui étaient utilisés pour la récupération des fusées latérales à poudre du programme de la navette spatiale, ont été utilisés lors du lancement pour imager celui-ci. Ils étaient stationnés au large de la côte, au nord-est des Etats-Unis et utilisaient une caméra de technologie avancée et un radar. pour plus de détails, voir le site de la NASA

illustration-symbole (très petit format) pour les missions du programme Constellation Vol-test Falcon 9

vue du lancement du vol-test COTS-1 le 08/12/2010 depuis le pas de tir 40 du Kennedy Space Centervue du lancement du vol-test COTS-1 le 08/12/2010 depuis le pas de tir 40 du Kennedy Space Center. NASA/Tony Gray and Kevin O'Connell

Le vol test "Commercial Orbital Transportation Services-1" ou COTS-1 de la fusée Falcon 9, avec capsule Dragon, de la société SpaceX, une fusée qui fait partie des lanceurs privés complémentaires prévus par la NASA pour atteindre, par exemple, l'ISS, s'est déroulé avec succès le lieu le 8 novembre 2010 depuis le Kenendy Space Center en Floride. Le tir a eu lieu depuis le pas de tir 40 du centre, dans la section CCAFS mercredi 8 décembre, à 10h 42 heure d'hiver de la côte est américaine. Le lancement avait dû être retardé du jour précédent du fait de fissures dans le cône du moteur du deuxième étage. Le lancement le 8 a, de plus, été retardé d'une heure et demie pour cause de fausses lectures télémétriques. Ce vol était le premier vol privé jamais effectué dans le cadre du programme "Commercial Orbital Transportation Services" ("services de transport en orbite commerciaux") de la NASA, lequel vise à encourager le développement de systèmes privés de lancement et véhicules orbitaux qui auront pour but de transporter du fret voire des équipages à l'ISS
La capsule Dragon capsule, elle, à orbité sans problèmes pendant 3 heures (à une vitesse de 27300 km/h) et elle a accompli une ré-entrée dans l'atmosphère, ensuite freinée par trois parachutes et atterrissant dans l'Océan Pacifique. Cette capsule est ré-utilisable et elle est prévue pour pouvoir accueillir jusqu'à 6 astronautes; elle peut également être adaptée pour atterrir sur terre. L'amerrissage a eu lieu à 800 km à l'Ouest des côtes du Mexique

illustration-symbole (très petit format) pour les missions du programme Constellation Le vol-test Ares I-X

PLUS RECENT! (mis à jour: 28/10/09)
Le premier vol-test de la fusée Ares I, un des deux nouveaux lanceurs du programme Constellation, a eu lieu avec succès le 28 octobre. Le décollage, qui a eu lieu à 11h 30 heure d'été de la côte est américain était prévu le 27 octobre 2009, du pas de tir 39B du Kennedy Space Center, en Floride, à 8h, heure de la côte est américain (12h GMT, 14h heure française). Ce lancement est donc un succès et on doit noter que l'on estime qu'habituellement, 40% des nouvelles fusées échouent lors de leur premier tir. Le lancement a dû être repoussé d'un jour, essentiellement pour cause de conditions météorologiques et le lancement a dû encore être retardé le mercredi matin pour les mêmes raisons. La NASA avait besoin d'une fenêtre de tir de 5 à 6 minutes. Le compte-à-rebours avait été interrompu mardi matin à l'arrêt de compte-à-rebours des -4 mn. La NASA avait également besoin que le tir ait lieu en l'absence de nuages générant de l'électricité statique ni de vents en haute altitude. Le système d'allumage a pu, enfin, être armé et les systèmes hydrauliques et électriques activés. La fusée a rapidement atteint les Mach 2 et le moteur s'est éteint à 22,2 miles nautiques (41 km) d'altitude. Le vol-test de l'Ares I a eu lieu depuis le pas de tir 39B qui est désormais réservé au programme Constellation. La NASA, pour repêcher le lanceur, a utilisé le navire Freedom, qui est utilisé pour les boosters de la navette spatiale. La NASA a malheureusement constaté que 2 des 3 parachutes de 46 m (150 ft) de diamètre qui devaient freiner la chute de l'étage à carburant solide ont mal fonctionné, entraînant une prise de contact plus brutale que prévue du booster avec l'océan. Le booster présente une entaille importante. Il semble qu'un parachute se soit replié en vol. Le problème pourrait avoir eu lieu au moment de la séparation entre le 1er et le 2ème étage. Les ingénieurs de la NASA vont maintenant étudier les données enregistrées pour comprendre ce qui s'est passé
. La fenêtre de tir du lancement s'étendait du 27 octobre au 16 novembre (la NASA l'ayant ainsi étendue). La fusée-test Ares I-X avait été transportée au pas de tir 39B le mardi 20 octobre. La NASA, pour ce faire, a utilisé le transporteur chenillé utilisé pour les navettes (et qui était déjà repris du programme Apollo). La fuséee est autorisée à une oscillation de 30 cm (1 ft) au sommet pendant le transport
. Les quatre éléments qui composent le premier étage étaient arrivés au Kennedy Space Center le 19 mars 2009 en provenance de l'Utah où ils sont fabriqués par Alliant Techsystems. Les 4 segments comportaient déjà leur carburant. Ils ont été ensuite assemblés dans le Vehicle Assembly Building, cet immense hall d'assemblage datant du programme Apollo. La fusée d'essai atteindra une hauteur de 96 m et le vol aura lieu à partir du pas de tir 39B. La NASA a mené avec succès, le premier essai de mise à feu du moteur du 1er étage de l'Ares I le 10 septembre. La précédente date de lancement avait été fixée au 31 octobre mais les ingénieurs ont pu terminer à temps le travail sur le lanceur. La date effective de lancement sera définitivement fixée par les managers de la mission au cours d'une série de revues. Un compte-à-rebours simulé a été effectué en septembre
Le vol Ares I-X est le premier vol-test grandeur nature de la fusée Ares I, l'un des deux nouveaux lanceurs du programme Constellation. Seuls les premiers quatre premiers "segments" du premier étage de l'Ares I seront actifs lors de ce vol. Un cinquième segment, le deuxième étage et le vaisseau Orion (le "CEV") ne seront que des simulateurs de poids (et ils ser ont munis de capteurs). Le vol-test Ares I-X fournira à la NASA la première opportunité de test de l'Ares I ainsi que du matériel, des installations et des opérations au sol liés au nouveau lanceur. Le premier étage de l'Ares I se base sur un booster de navette spatiale (ils n'ont jusqu'ici que toujours volé par paires). Les éléments du deuxième étage ne voleront pas longtemps: une fois l'extinction du premier étage survenue, deux minutes après le lancement, à 40 km (25 miles) d'altitude, il s'en séparera et, en vol plané non propulsé, il continuera sa trajectoire, jusqu'à retomber dans l'Océan Atlantique sud. Le pas de tir 39A a dû être adapté à l'Ares I-X
. Le lanceur Ares I servira à placer en orbite, ou sur une mission lunaire, la nouvelle capsule habitée de la NASA, le "Crew Exploration Vehicle", ou "CEV"; le lanceur Ares V, lui, est un lanceur lourd, qui ne sera utilisé que pour les missions lunaires; il servira à placer en orbite les modules -lunaire et de service- qui seront couplés, en orbite, au CEV, avant de prendre la route de la Lune. plus de détails sur le programme Constellation
vignette-lien vers une vue (en anglais seulement) de la configuration de la fusée Ares I-X pour le vol-testune vue (en anglais seulement) de la configuration de la fusée Ares I-X pour le vol-test. cliquer sur la vignette pour une image plus grande. NASA

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(par ordre chronologique inverse)

. mai 2014. 1ère simulation du contrôle du lancement et du vol d'un vol Orion
La NASA, en mai 2014, a procédé à la première simulation jointe intégrée d'un vol Orion. Y ont participé l'équipe de contrôle des vols, l'équipe de gestion mission, le centre de contrôle des lancements et des tests et l'équipe de support ingénierie, tous situés au Kennedy Space Center, en Floride. Les phases simulées sont allées du pré-lancement à l'orbite

. avril 2014. La capsule Orion a été alimentée pendant 26 jours et le premier vol-test est prévu plus tard dans l'année
La capsule Orion a fonctionné pendant 26 jours sans interruption au cours de la phase finale d'une série majeure de tests qui ont été réalisés au Kennedy Space Center, en Floride, le 8 avril 2014. Le test a permis de vérifier que la capsule peut distribuer le courant électrique ainsi qu'envoyer des commandes qui lui permettent de gérer son système d'ordinateurs de bord, le chargement de logiciels et de données, ses valves de propulsion, ses capteurs thermiques et autres instruments. Le premier vol-test est maintenant prévu pour dans quelques mois après ce test: la NASA enverra la capsule dans l'espace et la rapporter sans encombres sur Terre

. décembre 2012. La revue de concept de l'étage central du SLS conserve 2017 comme la date du premier vol-test du système
L'étage central du SLS a passé avec succès une revue préliminaire de concept (en anglais "preliminary design review" ou PDR. Le but de ce PDR était de érifier que le design de l'étage principal correspondait, avec une marge d'erreur acceptable, aux requis du SLS et se trouvait dans les contraintes de programmation et de budget. Une partie important de cette revue a été de prouver que l'étage central pouvait s'intégrer sans problèmes avec les autres éléments des moteurs principaux et des fusées auxiliaires à poudre, la capsule de l'équipage et les éléments du pas de tir du Kennedy Space Center. Les concepteurs ont fourni cette estimation en profondeur à un groupe d'ingénieurs qui comprenait des experts en propulsion et en design venant aussi bien de la NASA que de l'industrie aérospatiale. Tous les éléments du programme doivent se trouver au même niveau de maturité avant que le programme SLS puisse passer dans son ensemble à l'étape suivante; l'étage central est l'élément central de la propulsion et consistera en un mélange optimisé de hardware nouveau et existant (plus grands réservoirs, plus longues lignes d'alimentation et processus de fabrication avancés). Aussi le premier vol-test du SLS reste-t'il prévu pour 2017. L'étage principal sera construit par la Michoud Assembly Facility de la NASA, de la Nouvelle-Orléans (cette installation continue de se modifier pour construire la nouvelle fusée)

. mars 2012. Etape importante d'évaluation pour le système SLS!
Le 29 mars 2012, une équipe, pour le système SLS de fusée de lancement et de capsule, a terminé la première étape d'études parallèles qui ont défini les demandes concernant le design et ont évalué le concept du lanceur fonction, soit la "System Requirements Review" et la "System Definition Review" ("examen des requis du système" et "examen des définitions du système"). Ces procédures ont passé en revue les requis des lanceurs en termes de sécurité de l'équipage et d'interfaçage avec la capsule Orion ainsi que les opérations au sol et les installations de lancement au Kennedy Space Center. Les examens, de plus, ont établi les coûts et les requis en termes de planning de sorte que le projet soit exécuté dans les temps. Ces examens sont le début d'une série d'examens au long des travaux qui font passer les lanceurs du concept au vol. L'étape 1 avait compris une revue technique des requis du programme avec informations sur les coûts, agenda et les risques. L'étape deux, commencera au début de l'été 2012, comprendra une évaluation intégrée des composants techniques et programmatiques ainsi qu'une évaluation complète des coûts, agenda et risques qu'implique le programme SLS. Le premier vol SLS est maintenant prévu pour 2017

mars 2012. Des modèles réduits des moteurs des fusées auxilaires à carburant solide du Space Launch System, ou SLS, ont été testés au centre Marshall
Des modèles réduits des moteurs des fusées auxilaires à carburant solide du Space Launch System, ou SLS, ont été testés en mars 2012 par les ingénieurs du centre Marshall de la NASA, à Huntswille, en Alabama. Ce genre de test permet aux ingénieurs de créer et évaluer des modèles analytiques ainsi que leur savoir-faire dans la perspective de tests grandeur nature. Le prochain test grandeur nature, le "Qualification Motor-1" ou "QM-1" est prévu pour le printemps 2013. Le directorat des études en ingénierie du centre Marshall ont conçu le moteur-test en collaboration avec la firme ATK Aerospace Systems de Huntsville et ATK de Brigham City (Utah) qui est le contractant principal de la NASA pour ces nouveaux moteurs

novembre 2011. Le nouveau lanceur mobile et le pas de tir 39B rénové progressent
Faisant partie du nouveau programme Space Launch System de la NASA, la construction d'un lanceur lourd et capsule pour les voyages au-delà de l'orbite terrestre, une nouvelle tour de lancement dite "mobile launcher" ("lanceur mobile", ou ML) sera utilisé; il sera transporté au pas de tir via le transporteur mobile du programme de la navette. Le pas de tir 39B lui-même a subi des rénovations intensives au cours de l'année qui vient de s'écouler (la tour de la navette a été retirée et le réseau de lignes électriques et de plomberie rénové). Haute de 135m, la tour de lancement est totalement différent du système de la navette. La tour mobile sera donc transportée au pas de tir et présentera cet aspect d'une tour qui rappelle le programme Apollo. C'est la première fois depuis 1975 qu'une structure de lancement aussi haute sera présente au 39B. Son site de départ se trouve à côté du Vehicle Assembly Building. Des bras mobiles seront ajoutés en 2015 pour le remplissage des moteurs, l'aération et les liens électriques et télécoms au niveau des différents étages de la fusée de lancement. Un bras sera également ajouté pour l'accès de l'équipage à la capsule Orien. Le pas de tir, lui, nécessitera vraisemblablement un nouveau dessin du déflecteur de flammes et la rénovation de la tranchée d'évacuation des flammes. Au contraire des autres pas de tir du Kennedy Space Center, le pas de tir 39B est maintenant envisagé sous un angle de flexibilité de sorte qu'il pourra accueillir différents lanceurs. Le "Launch Equipment Test Facility" est construit pour tester des segments en taille réelle du matériel de support au sol

. août 2010. Le moteur à 5 segments, à comburant solide testé avec succès à des températures froides
La NASA et la compagnie ATK ont testé avec succès le moteur à 5 segments, à comburant solide (le "Solid Rocket Motor", SRM) dans des conditions de froid, à 5°C (40°F) le 31 août 2010. La mise à feu sur stand fixe du moteur, appelé DM-2 a été le test de moteur à comburant solide le plus lourdement équipé en systèmes de test de l'histoire de la NASA. Le premier test du moteur avait eu lieu l'an dernier à température ambiante. Bien que semblable aux fusées d'appoint à comburant solide de la navette spatiale, le moteur à 5 segments comprend plusieurs mises à jour et améliorations technologiques, ainsi l'ajout d'un cinquième segment, un passage plus large du cône d'éjection et une isolation et doublure mises à jour

. mai 2010. Le système d'interruption d'urgence au moment du lancement de la capsule Orion testé avec succès
Le 6 mai 2010 le système d'interruption d'urgence au moment du décollage et pendant la montée de la capsule Orion a été testé avec succès dans l'Etat du Nouveau-Mexique. Le système, semblable à celui de la fusée Saturn V du programme Apollo, est composé d'un moteur d'extraction, qui éloigne la capsule de la fusée de lancement, d'un moteur de direction qui contrôle, ensuite, l'attitude de la capsule et d'un moteur de fin d'interruption de lancement, qui, cette fois, sépare le moteur d'extraction de la capsule et permet l'extraction des parachutes. Le test a eu lieu bien que l'administration Obama ait interrompu le programme Constellation; elle ne conçoit plus la capsule Orion que comme un vaisseau de secours pour l'ISS

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